Du Nice to have au Must have : comment l’IA générative évolue au sein de la communauté des veilleurs

Si l’intelligence artificielle apparaît encore limitée sur certains aspects, elle offre des avancées que les veilleurs ont identifiées pour leur création de valeur. Ainsi sommes-nous en train de passer à une nouvelle étape : celle du Must have.

De l’ordinateur au smartphone, les innovations technologiques majeures suivent en général un chemin en trois étapes. Au commencement, la technologie est Nice to have : il est agréable de l’adopter, pour des raisons de représentation comme d’usage. Vient ensuite le temps du Must have, c’est-à-dire celui où la technologie crée de la valeur. Enfin, il y a le Only to have, le temps où l’objet est un prérequis.  

L’IA Générative : encore quelques limites

L’Intelligence artificielle générative (IA Gen) s’inscrit à l’évidence dans cette dynamique. L’observation du marché de la veille stratégique montre que de nombreuses entreprises oscillent actuellement entre le Nice to have et le Must have. Cet entre-deux procède d’une vision fluctuant entre limites et avancées de l’IA générative. Commençons par les premières. Les quantités d’informations ingérées et traitées par l’IA embarquée dans les outils de veille demeurent circonscrites. La technologie déployée interroge également dans la mesure où elle n’est ni française, ni européenne. Quid des données collectées ? Voilà un sujet que les Codir prennent au sérieux lorsque l’IA est utilisée avec une API et est non intégrée aux architectures internes. Un dernier bémol est enfin visible, lié aux étapes de vérification déployées actuellement par les organisations : confrontées à l’IA Gen, les entreprises mettent en place des process afin de valider les résultats obtenus. Ici, l’être humain manifeste encore le besoin d’être rassuré, ce qui au passage peut parfois se révéler très chronophage.  

Des atouts majeurs, à commencer par le gain de temps

Pour autant, l’IA générative séduit la communauté des veilleurs, qui a vite compris combien celle-ci générait de la valeur et constituait ainsi un Must have : une technologie à utiliser. Les gains observés sont pluriels. L’IA Gen répond tout d’abord à des questions précises, sur des sujets pointus. Elle permet d’effectuer des résumés et des rapports de synthèse de manière automatisée, et aussi de réaliser des traductions fiables et de haut niveau.

 

Mais c’est surtout sur le gain de temps que les professionnels de la veille insistent. La technologie permet par exemple d’effectuer la synthèse d’un texte A4 en quelques secondes, alors qu’il faut au veilleur entre 15 et 20 minutes pour effectuer cette tâche… Des heures précieuses se trouvent ainsi libérées, que les professionnels de la veille peuvent capitaliser en se consacrant à des actions de réflexion stratégiques.

 

Nous avons tous été surpris –parfois désarçonnés – par l’émergence de l’IA Gen. Des veilleurs aux éditeurs de logiciels, il a fallu prendre la mesure de la rupture technologique qui se présente. Dans la phase où nous sommes actuellement (du Nice to have au Must have), la prise de connaissance et la pédagogie sont des actions nécessaires. Il convient de s’éduquer et de s’acculturer collectivement, que ce soit par rapport aux risques que l’IA Gen nous fait courir ou aux gains qu’elle propose.

 

Dans cette réflexion, une dimension est acquise, qui ne l’était pas, il y a de cela encore quelques mois : nous ne sommes pas face à une problématique de remplacement de l’homme par la machine, mais face à une avancée qui est en passe d’être adoptée par une grande partie de la communauté professionnelle des veilleurs. Pour les organisations, le temps de l’adaptation est bel et bien engagé. Il sera passionnant, dans les mois à venir, de continuer d’observer de quelle manière l’ère du « must have » se déploie.

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Confiance, accompagnement et processus de compréhension de l’IA : les enjeux de l’année 2024

En cette année 2024, le marché de la veille devrait surfer sur la confiance revenue au sein du secteur de la Tech. Parmi les enjeux à venir figurent l’accompagnement plus étroit des organisations et la poursuite de l’analyse des impacts nés de l’IA générative.  

 

L’année 2023 qui vient de s’achever a été marquée par plusieurs phénomènes majeurs qui peuvent nous servir de point d’appui au moment de basculer dans une nouvelle année. Ces phénomènes nous permettent en effet d’entrevoir dans leurs grandes lignes les dynamiques qui nous attendent en 2024. Des évolutions tout à la fois liées à des questions de nature économique, technologique et organisationnelle.

Resserrement du marché et confiance

Economiquement, le secteur de la veille vit conjoncturellement une période de croissance et de contraction du marché. En 2024, les dynamiques d’acquisitions dans lesquelles se sont lancé certains éditeurs de veille devraient naturellement se poursuivre, le tout dans un contexte de confiance renouvelée. Car nous l’avons vu ces derniers temps : après des mois d’attentisme, des investissements d’importance sont de nouveau consentis au niveau de la Tech française, à l’image de la levée de fonds de Mistral AI, qui incarne pour beaucoup les espoirs français dans l’Intelligence Artificielle.   Cette confiance devrait jouer le rôle d’un accélérateur pour l’écosystème de la veille. En 2024, la croissance de celui-ci devrait se poursuivre, aiguillonnée également par le contexte de crises et de transitions que nous connaissons depuis quelques années déjà. Guerres, conflits internationaux, évolutions juridiques, avancées techniques… Ces éléments multiples ne cesseront pas de s’articuler et d’avoir des répercussions concrètes sur les biens et les services, les flux de marchandises ou encore les demandes du marché. Pour les éditeurs de solutions de veille, il s’agira ainsi de se diversifier en apportant des prestations additionnelles aux organisations, mais également de renforcer leur accompagnement.   La nature même de cet accompagnement devrait elle aussi évoluer. Le besoin de services et de qualité dans le relationnel avec les entreprises sera sans nul doute l’une des grandes évolutions qualitatives et culturelles du marché de la veille stratégique en 2024. Conseil, externalisation du processus de veille, accompagnement étroit sur les projets… Au-delà de l’outil de veille (qui demeurera bien entendu un critère de choix important), il s’agira de guider les organisations vers les solutions qui leur sont le plus utiles en s’inscrivant à leurs côtés dans un processus de suivi.

L’IA générative : jusqu’où ?

Technologiquement, l’année qui s’esquisse sera bien sûr largement marquée par l’Intelligence Artificielle et ses conséquences sur le métier. Nous n’avons pas fini, en 2024, d’entendre parler de cette IA générative à propos de laquelle nous lisons depuis quelques mois toutes sortes d’analyses et d’appréciations – y-compris les plus orthogonales. Qu’on le veuille ou non, l’IA demeurera en 2024 une perspective forte pour le métier de la veille, d’autant plus que nous n’avons pas encore fini d’identifier la totalité de ses domaines d’application. En réalité, c’est un processus de compréhension dans lequel nous sommes collectivement engagés au sujet de l’IA et qui est appelé à se poursuivre dans les mois à venir. Comment utiliser l’IA ? Quelles sont ses limites ? De quelle manière cet outil repositionne-t-il l’action du veilleur ? Quel peut être l’impact de la récente règlementation européenne et de sa mise en œuvre ?  Autant de questions sur lesquelles nous devons encore acquérir du recul.   Dans un tel contexte, une chose est sûre : l’IA générative est là et constitue une perspective incontournable pour la communauté des veilleurs. Les premières démonstrations d’un outil de veille reposant sur Open AI le démontrent : qu’ils soient privés ou publics, les professionnels souhaitent basculer au plus vite dans une phase de test. Ce type d’approche devrait permettre en 2024 à de nombreuses organisations de mesurer concrètement la valeur-ajoutée des outils de veille « augmentés » par l’IA, venant ainsi nourrir notre réflexion collective. Dans quelle mesure l’IA générative constitue-t-elle un danger pour les veilleurs ? La question de fond est là, et traduit dans bien des cas une crainte. Celle-ci est compréhensible : face à un bouleversement technologique aussi puissant que l’est l’IA, la peur est présente chez de nombreux professionnels et doit faire l’objet de réponses. Il s’agit ici de comprendre, de mesurer les enjeux pour au final mieux agir. Un ensemble d’éléments qui suppose une fois de plus que les éditeurs de solutions de veille accompagnent au plus près leurs clients, dans une logique de suivi renforcé et de conjuration – pour ne pas dire d’effacement – de la peur. Celle-ci n’est que très rarement bonne conseillère…   Actuellement, force est de constater que le monde de la veille aborde la révolution de l’Intelligence Artificielle en termes de tâches additionnelles à donner aux veilleurs. Pour le dire autrement et sans doute un peu plus frontalement, le remplacement intégral de l’être humain par la machine n’est pas d’actualité. En 2024, le facteur humain devrait ainsi demeurer l’élément central des réflexions stratégiques menées par les organisations, étant entendu qu’il reste encore de nombreuses tâches que seul un être humain est en capacité de faire. Contextualiser une synthèse de veille, l’ajuster à la culture de l’entreprise, à la dynamique d’un groupe, à des objectifs stratégiques : voilà bien ce que les veilleurs seront encore appelés à réaliser en 2024.

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La veille stratégique confrontée à l’IA générative : au-delà des craintes

L’IA générative qui se déploie actuellement dans le secteur de la veille stratégique suscite certaines craintes. Celles-ci peuvent être dépassées en effectuant de la pédagogie auprès des professionnels.

 

Après avoir défrayé la chronique et connu une large couverture médiatique au début de l’année 2023, l’Intelligence Artificielle (IA) générative continue à bas bruit de nourrir certaines inquiétudes au sein de plusieurs professions. Le secteur de la veille n’échappe pas aux craintes qui s’expriment, aiguillonné qu’il est par l’actualité récente. Au mois de septembre dernier, une entreprise spécialisée dans la veille, les médias et les relations presse a en effet annoncé le licenciement de plus de 200 de ses collaborateurs, soit 50% de sa masse salariale. Il n’en a pas fallu plus pour que certains observateurs déploient l’image d’un remplacement de la machine par l’homme. Au-delà de l’émotion légitime qui peut s’exprimer ici, il convient peut-être de prendre du recul. Dans quelle mesure l’IA générative est-elle précisément en train de faire évoluer le travail des veilleurs ?

L’IA : une technologie déjà déployée… mais qui franchit un nouveau cap

Avant d’entrer dans les détails des dynamiques nouvelles qui sont à l’œuvre, il semble important de rappeler que l’IA fait d’ores et déjà partie des leviers mis à la disposition des professionnels de la veille. Exploration pertinente des sources d’information via le Smart Crawling, analyse automatique des formats audio et vidéo grâce au Speech-to-Text, reconnaissance visuelle, filtres permettant d’ajuster la pertinence des informations pléthoriques auxquelles les organisations privées et publiques sont soumises… L’Intelligence Artificielle est désormais parfaitement intégrée aux solutions de veille qui se trouvent sur le marché.

 

Avec une IA de plus en plus générative, les outils de veille sont toutefois en train de franchir une nouvelle étape dans leur développement. La valeur ajoutée permise par la création de textes nouveaux, mais aussi d’images élaborées de toutes pièces, fait pénétrer le travail de veille dans une nouvelle dimension. Le cas de la synthèse de documents est ici emblématique : alors que ce digest mobilise souvent les professionnels de la veille pendant plusieurs heures, il peut être désormais absorbé par la machine en quelques instants à peine. Pour les veilleurs, le gain de temps est substantiel… Ce qui n’empêche nullement ceux-ci de manifester leur inquiétude.

Une pédagogie nécessaire auprès des veilleurs

Les craintes actuellement exprimées au sein des organisations semblent assez largement répandues. Interrogés sur ce que suscite l’IA générative pour eux, certains professionnels de la veille font état de certaines préoccupations. Pour y répondre, certains éditeurs de solutions de veille ont organisé des webinaires où les plateformes de veille augmentées par l’IA générative étaient présentées. Ce sont ces échanges qui ont permis de constater empiriquement combien les questionnements étaient présents chez les veilleurs. Ces rencontres ont également permis de voir que ces mêmes veilleurs étaient assez curieux de découvrir les possibilités permises par l’IA générative… Ce qui au final a permis de désamorcer la dimension émotionnelle suscitée par celle-ci.

 

C’est en effet à force d’explications et de démonstrations que nous avons pu voir combien la crainte des professionnels s’atténuait. Plus les veilleurs ont eu à connaître les capacités nouvelles qui s’offraient à eux, plus ils ont repris confiance dans les perspectives inhérentes à leur métier. Gains de temps majeurs sur des tâches répétitives (synthèses et résumés de documents principalement), possibilités plus larges laissées au travail d’animation et à l’intelligence collective : il existe bel et bien un avenir pour le travail de veille. Les veilleurs avec lesquels nous avons pu échanger l’ont clairement exprimé, évoquant au passage une transformation de leur métier et non pas une disparition de celui-ci.

 

Le processus qui se trouve actuellement à l’œuvre au sein des métiers de la veille confrontés à l’IA générative est donc bien celui d’une évolution à l’œuvre. À l’image de ce qui s’est passé au mois de septembre dernier, certaines équipes de direction pourraient en profiter pour déployer une stratégie de Cost Killing, dont nous savons par ailleurs qu’elle peut parfois s’exercer au détriment de la croissance d’une organisation. D’autres s’attacheront plus pragmatiquement à faire évoluer les missions des veilleurs, de la même manière qu’elles se sont adaptées à l’apparition du World Wide Web il y a près de 30 ans. Ce sont donc bien les modalités de la veille qui, dans un avenir proche, pourraient de nouveau évoluer.

 

Sans pour autant venir transfigurer l’ADN même du métier de veilleur, plus que jamais nécessaire dans un monde en situation de transition.

 

Arnaud Marquant

Directeur des opérations

KB Crawl SAS

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KB Crawl s’adapte aux besoin des veilleurs avec une nouvelle version de KB Suite

Dans sa démarche d’innovation constante et une dynamique de modernité, KB Crawl fait une nouvelle fois évoluer sa solution KB Suite pour proposer sa huitième version.

Paris, le 15 juin 2023 – KB Crawl, l’un des leaders français dans les solutions et services de veille pour les entreprises, annonce le lancement d’une mise à jour majeure de sa solution la plus complète : KB Suite. La version 8 de la suite de veille promet de nombreuses fonctionnalités nouvelles et une ergonomie simplifiée.


La genèse du projet

La nouvelle version de KB suite est née d’un besoin de faire évoluer et de moderniser l’application ainsi que de la collecte des demandes des clients, point de départ d’une étude d’ergonomie et du parcours utilisateur.

Dans le souhait d’améliorer le quotidien des utilisateurs de KB Suite, les spécialistes de la veille ont réinventé KB Suite pour proposer la solution parfaite et répondre aux besoins de tous les veilleurs. Après l’interrogation d’un panel de clients au fur et à mesure du maquettage, l’entreprise française dévoile ainsi la huitième version de sa solution de veille la plus complète. La nouvelle version agrège ainsi l’ensemble des dernières technologie développées par KB Crawl ces derniers mois, tels que des outils de Machine Learning, Speech-To-Text, un module collaboratif, la technique d’océrisation et la gestion des multiples thématiques de veille…


Les dernières technologies au sein de KB Suite

Parmi les technologies intégrées à cette nouvelle version, le Machine Learning, technologie d’automatisation devient un indispensable pour le veilleur en optimisant son temps de travail. L’automatisation du workflow de la veille permet de libérer du temps au veilleur pour qu’il se concentre davantage sur ses missions principales. La technologie Speech-to-Text, quant à elle, permet de retranscrire des contenus audios et vidéos sous forme de texte avec plus de précision dans cette nouvelle version. Cette dernière technologie permet de veiller également de nouveaux formats audios et vidéos comme les podcasts. Enfin, l’océrisation permet d’extraire le contenu textuel d’une image et le Crawler peut ainsi désormais analyser l’information contenue dans chaque image, photo ou documents PDF.


Une ergonomie réinventée

Suite à cette étude de l’ergonomie, la solution KB Suite présente un paramétrage plus intuitif et de écrans mieux organisés. L’utilisation se retrouve également simplifiée grâce à la fusion des deux outils Crawler et Platform. Cette ergonomie optimisée facilite ainsi l’accès aux non professionnels de l’information permettant à l’ensemble des services d’initier un projet de veille.

KB Crawl ne cesse d’innover et de faire évoluer ses solutions pour proposer aux veilleurs des fonctionnalités et technologies plus élaborées à chaque nouvelle version. Dans une dynamique de modernité et de changement de l’entreprise, KB Crawl permet l’évolution du projet en le rendant plus facile d’utilisation grâce à une base de données unique et une fiabilité démontrée.


À propos de KB Crawl SAS :

KB Crawl SAS est un leader français dans les solutions et services de veilles pour les entreprises. Créée en 2007 et basée en France, la société compte plus de 100 000 utilisateurs de ses solutions dans le monde. KB Crawl SAS aide ses clients à améliorer leurs performances en leur offrant des services et des solutions innovantes afin de mener les actions adéquates pour la mise en œuvre de leur stratégie.

www.kbcrawl.com 


Contact Presse : 

Christelle Klein : 

06 63 97 01 67

cklein@hl-com.com

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CP – « Retrouvez l’équipe KB Crawl au salon Viva Technology »

KB Crawl sera présent à Paris au salon Viva Technology, le plus grand événement européen pour les start-ups et la technologie.

Cette année, retrouvez le leader dans les solutions et services de veille pour les entreprises, KB Crawl, lors du salon parisien Viva Technology. Retrouvez toute l’équipe KB Crawl pour une expérience 100% digitale et immersive Porte de Versailles du 14 au 17 juin. Ce grand rendez-vous annuel de l’innovation sera pour vous l’occasion de (re)découvrir cette entreprise française dynamique qui vous accompagnera tout au long de votre projet de veille. 


KB Crawl, une solution à découvrir

De la conception de votre projet, à la personnalisation et au suivi des fonctionnalités de la solution, découvrez un panel de services adaptés à vos besoins et imaginés par KB Crawl. Pour KB Crawl, chaque client est unique et chaque projet mérite d’être traité de manière individualisée à travers toute l’expérience et l’expertise de consultants dédiés. Venez donc à leur rencontre sur le stand A23 pour discuter des spécificités de votre projet, quel que soit votre secteur d’activité.


Un moment de rencontre

Viva Technology accélère l’innovation en connectant des start-ups, des leaders de la technologie et encore des investisseurs lors d’un grand évènement européen. À l’occasion de ce salon, KB Crawl souhaite faire connaître et démocratiser la veille stratégique tout en donnant une image plus moderne de la veille. A cette occasion, KB Crawl dévoilera ses dernières technologies innovantes et son usage bénéfique de l’Intelligence Artificielle grâce au Speech-to-text par exemple. Découvrez en avant-première la nouvelle version de KB Suite.  Viva Technology est l’occasion pour KB Crawl de rencontrer ses clients actuels mais aussi de s’ouvrir à un public plus large en partageant son enthousiasme pour la veille ainsi qu’en démontrant l’importance de la veille dans tous les secteurs. Cette présence au salon Viva Technology est le résultat d’un travail intensif fourni par l’ensemble des équipes KB Crawl et d’une nouvelle dynamique de changement de l’entreprise. Venez donc découvrir le stand A23 de KB Crawl à Viva Technology pour en apprendre davantage sur l’entreprise, son activité et ses solutions.


À propos de KB Crawl SAS :

KB Crawl SAS est un leader français dans les solutions et services de veilles pour les entreprises. Créée en 2007 et basée en France, la société compte plus de 100 000 utilisateurs de ses solutions dans le monde. KB Crawl SAS aide ses clients à améliorer leurs performances en leur offrant des services et des solutions innovantes afin de mener les actions adéquates pour la mise en œuvre de leur stratégie.

www.kbcrawl.com 


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06 63 97 01 67

cklein@hl-com.com 

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Veille innovation / R&D : bien au-delà de la technologie !

Tout comme la veille commerciale, la veille innovation / R&D attire fortement les organisations, qui y voient un moyen de « disrupter » le marché. Reposant sur un grand nombre de sources à identifier, elle nécessite aussi une certaine finesse dans l’analyse. 

L’usage veut que la veille innovation / R&D figure parmi le « Big Four » des typologies de veille, aux côtés de la veille commerciale et marketing, de la veille image et de la veille juridique et réglementaire. Dans la pratique, nous observons que deux champs attirent plus particulièrement les organisations : la veille commerciale, dans la mesure où elle permet de défendre pleinement la marque ; la veille innovation / R&D, car elle facilite l’identification de nouveaux produits et services, c’est-à-dire de tendances à venir.


Se réinventer, surprendre… par l’innovation

La veille innovation est d’autant plus considérée par les organisations qu’elle est intimement reliée à leur propre stratégie de développement. Il y a dans cette veille une double finalité : créer si possible sa technologie à partir de techniques et d’avancées en voie d’émergence et relativement méconnues ; s’appuyer sur des technologies innovantes afin de faire évoluer ses propres produits et services. Cette approche est importante à considérer dans la mesure où le marketing et la vente reposent plus que jamais sur la notion de différenciation, voire de rupture. Pour marquer des points auprès des clients – et donc pour se développer –, il faut encore et toujours se réinventer, proposer des produits ou des services nouveaux, surprendre, casser les codes, etc. Cela est d’autant plus impératif que les marchés demeurent fortement concurrentiels et mondialisés, avec de nombreuses disruptions, des changements d’usages ou bien des évolutions dans les habitudes de consommation. 


De nombreuses sources à veiller

Pour se donner une chance d’atteindre de tels objectifs, il convient de déployer une stratégie de veille la plus complète possible. L’une des particularités de la veille innovation / R&D est d’ailleurs celle-ci : elle se signale par un nombre très important de sources d’informations à surveiller. Les bases brevets en sont une, qui permettent de repérer les inventions. Les sites universitaires orientés recherche en sont une autre, particulièrement sur des problématiques de niche et à haute valeur-ajoutée technique. Il ne faut pas non plus oublier la presse généraliste ou spécialisée, qui bien souvent est friande de sujets innovants. Ni les sites de crowdfunding, au sein desquels de nombreuses start-ups sont en quête de financements pour leurs nouveaux produits ou services. Certaines plateformes doivent encore être ajoutées à cette liste, certains blogs, certains forums… Certains d’entre eux accueillent en effet de plus en plus de chercheurs, bien plus diserts qu’il y a encore quelques années.

En mobilisant ainsi des sources multiples et variées, l’objectif du veilleur consistera à être le plus exhaustif possible, à identifier les nouveautés et surtout les tendances. Car un produit ou un service nouveau peut être le nom d’un changement d’usage, voire dans certains cas d’une évolution sociétale. Rappelons-nous : des plateformes telles que Doctolib ou Waze ont démarré dans une relative confidentialité… avant de devenir des standards.


Innovation et développement durable

Pour contribuer à relever un tel défi, les éditeurs de veille ont un rôle majeur à jouer. C’est en effet à travers la pertinence et la technicité de leurs solutions qu’ils pourront ramener à la surface un maximum d’informations, puis faciliter le croisement de celles-ci et leur analyse. Car la veille innovation / R&D est éminemment transverse. Elle nécessite d’articuler des informations a priori très éloignées les unes des autres, grâce notamment à l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA). Ainsi, la veille innovation va aller chercher des éléments de nature technique, des procédés, des centres d’intérêt financiers… Quels sont les investissements opérés par les banques ? Voilà par exemple une question qui permettra de mieux étudier l’évolution d’un secteur.

À ce sujet, nous observons depuis quelques années une tendance devenue lourde : l’articulation de l’innovation avec la question du développement durable. En 2023 plus que jamais, l’innovation se doit d’être socialement responsable et respectueuse de l’environnement. Ceci peut être observé notamment dans le secteur du packaging, où plusieurs start-ups proposent des emballages non invasifs, élaborés à partir de produits naturels et biodégradables. Quel grand compte aurait-il pu croire en cette évolution ? Il a fallu pour s’en rendre compte une veille financière poussée, faite de croisements entre signaux faibles technologiques et signaux de plus en plus forts du côté des consommateurs…

La veille innovation / R&D a encore de beaux jours devant elle. Pour servir au mieux les organisations, elle doit être définie le plus précisément possible, en évitant quelques écueils. Le fait de confondre innovation et avancée technologique en est un, et non des moindres. La veille innovation, ce n’est pas que de la technologie et du savoir-faire… Nous sommes aussi ici dans le savoir être et le faire savoir, c’est-à-dire dans les usages. Ainsi, lorsqu’une agence bancaire décide d’installer un pupitre dans son entrée afin de prendre en charge et de rediriger tous ses clients, ce n’est pas qu’un détail : c’est au contraire une véritable innovation, qui dit de nombreuses choses sur l’individuation de l’approche client. À méditer…

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Le bulletin tech – 15 février 2023

L’ESSENTIEL DU MOIS : 

Au menu cette semaine : « La Guerre des IAs ». Si Microsoft surfe sur la tendance ChatGPT, Google a senti la menace et a dégainé BARD. Mais si la bataille s’est engagée aux Etats-Unis, la Chine n’est pas en reste, Baidu et Alibaba se sont joints à la course.

Bonne lecture ! 


Sommaire

IA

  • Microsoft fonce pour avoir ChatGPT dans Word, Outlook et PowerPoint
  • Face à ChatGPT, le géant chinois Baidu va lancer sa propre IA
  • Au fait, c’est quoi un prompt ? 
  • Alibaba prépare aussi sa réponse à ChatGPT
  • Qu’est-ce que c’est Google Bard ?

IA

Microso fonce pour avoir ChatGPT dans Word, Outlook et PowerPoint

– vendredi 10 février 2023

Une démonstration sur l’intégration de ChatGPT dans la suite bureautique Office (Word, Outlook, PowerPoint) est attendue très bientôt, signe de l’empressement de Microsoft à avancer vite. On l’a dit : Microsoft entend intégrer ChatGPT partout, Edge, Bing, etc.


Face à ChatGPT, le géant chinois Baidu va lancer sa propre IA

– mardi 31 janvier 2023

Baidu, le plus grand moteur de recherche chinois, va lancer sa propre intelligence artificielle (IA) pour rivaliser avec ChatGPT.


Au fait, c’est quoi un prompt ?

– vendredi 10 février 2023

Un prompt ? Kézako ? Un prompt désigne une instruction, que l’on envoie à un algorithme d’intelligence arficielle (IA) spécialisée dans la génération de contenu — comme du texte ou de l’image, dans le cas de ChatGPT, le prompt génère du texte.


Alibaba prépare aussi sa réponse à ChatGPT

– jeudi 9 février 2023

Si les grands groupes étatsuniens se sont emparés du sujet, les plateformes chinoises du Web ont leur mot à dire en maère d’IA générave. Après Baidu et NetEase, Alibaba annonce développer son propre ChatGPT.


Qu’est-ce que c’est Google Bard ?

– vendredi 10 février 2023

Bard est le chatbot de Google. Officialisé en février, il est censé riposter à ChatGPT d’OpenAI, que Microsoft veut intégrer dans Bing et Edge. Qu’est-ce que c’est, Google Bard ? Google Bard est un chatbot, c’est-à-dire un agent conversationnel, semblable à ChatGPT d’OpenAI.

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En 2023, des organisations encore mieux formées à la veille

L’année qui démarre devrait voir se consolider les tendances actuelles, qui reposent en grande partie sur des investissements majeurs consentis par les grands groupes en termes d’intelligence économique.

Si l’horizon est loin d’être bouché, il n’en reste pas moins relativement incertain. Les milieux économiques le sentent, et certains atermoiements attestent depuis deux ans d’une forme d’hésitation, pour ne pas dire d’attentisme. Dans un tel contexte, la problématique de la veille demeure plus que jamais importante dans la mesure où elle permet de surveiller l’évolution générale de la situation, de repérer les signaux faibles et de rester en alerte face aux possibilités qui ne manquent jamais de surgir. Le paradoxe est à souligner : c’est en situation de transition que les opportunités sont à saisir !


Investir dans l’intelligence économique

De nombreuses entreprises ont conscience de cela, et continuent actuellement d’investir dans l’intelligence économique. L’année 2023 devrait encore une fois confirmer cette tendance qui voit la veille se déployer au cœur des organisations, avec une information qui circule de plus en plus de manière transversale en interne. C’est tout particulièrement vrai pour les grands groupes : les banques, les assurances, les compagnies d’énergie ont un besoin impérieux de suivre au plus près les tendances des marchés. Il s’agit là non seulement de se maintenir à l’écoute du moindre événement, mais aussi de trouver des relais de croissance et de surveiller la concurrence. Nous pouvons observer que certains de ces grands groupes déploient désormais l’intelligence économique tous azimuts, sur tous les marchés envisageables, au sein de toutes les zones de chalandise. Ces entreprises cherchent à aller toujours plus loin dans la veille, sollicitant des éditeurs et des solutions de plus en plus pointus dans leur technicité.


Des professionnels de plus en plus formés à la veille

Cette dynamique peut en partie s’expliquer par la formation plus spécialisée qui est celle des professionnels, et qui elle aussi ne cesse d’évoluer. Au sein des universités de Lille et de Strasbourg par exemple, les étudiants sont formés à la veille à travers des troisièmes cycles qui les amènent à découvrir le maniement de plateformes professionnelles. Une fois placés en situation de travail, ces jeunes collaborateurs acculturent leur organisation à la fois à la nécessité de réaliser de la veille stratégique, mais également à celle de disposer d’un outil technique véritable, conçu spécifiquement pour l’intelligence économique. Par ce biais, des liens plus ténus sont tissés entre les organisations et les éditeurs de solutions de veille, contribuant à faire infuser la veille. Déjà présente en 2022, cette tendance devrait se poursuivre cette année.


Un marché qui se consolide toujours

Quant au secteur de la veille lui-même, il devrait poursuivre sa sûre et lente évolution. Certes, l’an dernier, nous avons pu noter qu’un acteur majeur de la veille avait été racheté par une entreprise américaine. D’autres mouvements se poursuivent, qui voient certains nouveaux venus apparaître. Afin de consolider leur place sur le marché, ces entrants déploient des stratégies parfois agressives, notamment en termes de communication. En dépit de cela, le marché de la veille n’en demeure pas moins relativement stable, ce que devrait confirmer l’année 2023. Ce marché se consolide en grande partie autour d’acteurs bien installés, dont les solutions ont fait leurs preuves et qu’il s’agit désormais de rendre plus agiles – notamment en favorisant le partage d’informations ou en développant des technologies de type « speech-to-text » qui permettent de veiller du contenu vidéo ou encore des podcasts.

En 2023, un point pourrait cependant prendre une importance plus prégnante : la sécurité des données. Il n’a échappé à personne que les organisations étaient depuis plusieurs années de plus en plus sujettes à des cyber-attaques, ni que la situation internationale avait remis au goût du jour la question de la protection et de la souveraineté des données. Au sein des entreprises, les DSI regagnent du pouvoir à travers le rôle actif que jouent en leur sein les DPO ou encore les Data Officers. Sécuriser l’organisation et protéger son personnel : ces directions informatiques ont du pain sur la planche, et se révèlent de plus en plus sensibles à la sécurisation des données qui sont générées.

Le champ de la veille est bien entendu pleinement concerné par cette évolution. Où sont stockées les données ? Sur ce point, les éditeurs de veille se doivent de proposer des solutions pleinement safe, par exemple en possédant leurs propres serveurs. Ce n’est pas donné à tout un chacun, ce qui pourrait en 2023 amener certaines sociétés à se poser des questions nouvelles.

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Le bulletin tech – 18 novembre 2022

L’ESSENTIEL DU MOIS :

Sauve qui peut ! Twitter, Amazon et Meta, trois des géants GAFAM font face à une crise sans précédent avec des licenciements en masse. Des projets utopiques qui conduisent dans la réalité à des situations délicates.
Dans cette édition, l’IA au service des utilisateurs pour créer du contenu vidéo simplement à l’aide d’un texte, le développement d’une IA pour détecter les deepfakes et enfin, Odaptos, permettant de discerner les émotions liées à des contenus.

Bonne lecture ! 


Sommaire

1. IA

  • Intel a développé une IA capable de détecter des deepfakes en temps réel – Les Numériques
  • Comment l’IA de Movio va créer vos vidéos marketing automatiques

 

2. NLP

  • NLU : à quoi ça sert et comment elle fonctionne ? 

 

3. OPINION MINING

  • Odaptos : l’intelligence artificielle pour analyser les émotions – Archimag

 


1. IA

Intel a développé une IA capable de détecter des deepfakes en temps réel – Les Numériques

Intel a développé une intelligence artificielle capable de détecter une vidéo deepfake en temps réel. Cette technologie, qui identifierait ces vidéos en quelques millisecondes, aurait 96 % de précision.


Comment l’IA de Movio va créer vos vidéos marketing automatiquement

L’intelligence artificielle de la startup Movio peut créer des vidéos marketing automatiquement à partir de textes. Movio propose une plateforme d’intelligence artificielle permettant de créer automatiquement des vidéos de marketing à partir d’un simple texte. Désormais implantée en Californie, la startup chinoise espère séduire les marketeurs du monde entier en les laissant créer des contenus novateurs très facilement…


2. NLP

NLU : à quoi ça sert et comment elle fonctionne ?

Le NLU est tout d’abord l’acronyme de Natural Language Understanding, ce qui signifie  compréhension du langage naturel. C’est une technologie qui est liée à l’IA (Intelligence Artificielle) et au Machine Learning. Ccomme son nom l’indique, le NLU vise notamment à automatiser la compréhension du langage naturel. En tant que tel, celle-ci se rattache directement à la technologie de langage naturel tel que le Natural Language Processing. Plus exactement, il s’agit d’une branche de la NLP.


3. OPINION MINING

Odaptos : l’intelligence artificielle pour analyser les émotions

Odaptos mêle expérience utilisateur et intelligence artificielle. La start-up a ainsi créé une solution permettant à ses clients de mieux adapter leurs applications web ou mobiles en fonction des émotions de leurs utilisateurs.
Odaptos repose sur l’intelligence artificielle (IA) dédiée à la détection des émotions humaines des utilisateurs. Grâce à elle, nos clients peuvent tester leurs applications web ou mobiles, détecter les besoins de leurs consommateurs (émotions ressenties, interrogations, etc.) et adapter leurs interfaces.

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Newsletter septembre 2022

EDITO

C’est la rentré !

L’été et son insouciance ont été vite remisés dans les placards pour affronter une actualité dont le mot d’ordre est la sobriété. Les discours et les interviews se succèdent sur l’ensemble des médias pour évoquer la sobriété budgétaire, écologique, alimentaire mais rien sur la sobriété de l’information. C’est un flot de plus en plus dense et multi-canal qui nous inonde. Une des dernières nouveautés est que Twitter se lance dans la diffusion de podcasts. L’audio prend de plus en plus de place dans notre veille et nous nous devions de proposer à nos utilisateurs des fonctionnalités de transfert de l’audio en texte pour analyser ces types de contenus. Les podcasts n’en finissent plus de crever le plafond de verre : au mois de décembre dernier, l’institut Médiamétrie comptabilisait 179 millions d’écoutes ou de téléchargements de podcasts en français à travers le monde, soit une hausse de 4,7 millions en un seul mois ! Aujourd’hui, toutes les stratégies de communication passent par l’audio ou la vidéo, même chez KB Crawl ! 


ZOOM SUR…

  • Le mois de septembre :

💼 1er septembre : Rentrée des classes

💻 13 septembre : Journée mondiale des développeurs

🏰 17 septembre : Journées européennes du patrimoine (jusqu’au 18/09) / World Clean Up Day

🍂 22 septembre : Automne / Journée sans voiture

🏋️‍♀️ 23 septembre : Semaine européenne du sport (jusqu’au 30/09) / Journée internationale des langues des signes

🦻 24 septembre : Journée mondiale des sourds

🇫🇷 26 septembre : Journée européenne des langues

🎂 27 septembre : Anniversaire de Google / Journée mondiale du tourisme

 

  • SAVE THE DATE  – WEBINAR :

📅 Jeudi 15 septembre 2022 

⏰ 10h00 à 11h00 AM

👉 « Speech to text, océrisation, ces fonctionnalités indispensables pour la veille stratégique sur internet grâce à KB Suite »

👥 Intervenants : Eric Bertoletti, Responsable Business Développement chez KB Crawl SAS et avec Laura Costamagna, Consultante-Formatrice en Intelligence Économique chez KB Crawl SAS 🌐


L’ASTUCE DU VEILLEUR

Les fonctionnalités de speech to text et océrisation

Grâce à la fonctionnalité du speech to text, les contenus audios et vidéos de votre Crawler vont pouvoir être analysés afin de les retranscrire sous la forme d’un texte. Ainsi, grâce à vos déclencheurs d’alertes, vous apercevrez quels mots clés auront été détectés dans le contenu retranscrit, une alerte sera alors levée. Avec l’océrisation, le contenu textuel de vos images sera extrait puis analysé par le Crawler. Les informations retranscrites pourront être détectées grâce à vos déclencheurs d’alertes. L.C


DECRYPTAGE 

Le speech to text : Comment ça marche ?

La reconnaissance automatique de la parole (RAP) plus connue sous l‘expression anglaise : speech-to-text est une technologie qui permet de transformer un contenu audio en un texte. Elle mélange les connaissances de la linguistique, de l’informatique mais aussi de l’électricité.

La RAP va tout d’abord découper l’audio en échantillons très courts afin que ces échantillons soient le plus proche possible de la syllabe. Ces échantillons sont appelés des phonèmes. Le phonème est un élément de base de la prononciation (exemple : de, da, du, dé, pre, pra …..)

C’est à ce moment que l’algorithme rentre en jeu. Il va prévoir, par une analyse statistique complexe à partir d’un premier phonème, quel sera le reste de la phrase ou du mot. Certains de ces algorithmes utilisent d’ailleurs des modèles de réseaux de neurones et peuvent travailler en plusieurs langues.

Cette technologie prend de plus en plus de place dans notre quotidien et on voit souvent des personnes qui dictent leurs SMS plutôt que de les écrire, sans parler des assistants vocaux qui fleurissent dans certains domiciles.

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