Données personnelles : le temps des sanctions ?

Les sanctions de la CNIL auprès des entreprises ne respectant pas le RGPD se multiplient. Une étape dans l’acculturation des organisations au respect des données personnelles, que la journée mondiale du 28 janvier (« Data Privacy Day ») permet d’évoquer.

Depuis plusieurs mois, la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL) multiplie les sanctions à l’attention d’entreprises ne respectant par le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD). Le 15 septembre 2022, elle attribuait une amende record de 405 M€ à Instagram pour divulgation publique d’adresses de mails et/ou de numéros de téléphone. Le 20 octobre, elle sanctionnait la société Clearview AI pour collecte de données de personnes se trouvant en France. Un mois plus tard, Discord INC ainsi qu’EDF étaient priées de s’acquitter respectivement de 800 000 € et  600 000 €. Au mois de décembre dernier, la CNIL sanctionnait entre autres MicrosoftAppleTikTok et la société Voodoo


Discord : les données de 2,5 millions de comptes français conservées

Que nous disent ces différentes décisions sur la protection des données personnelles ? D’abord que le « gendarme » français de nos données, à savoir la CNIL, se montre extrêmement vigilant quant au respect des textes en vigueur, édictées en avril 2016 avant d’être appliqués en 2018. Prenons l’exemple de Discord : après contrôle de la CNIL, l’entreprise s’est révélée dans l’incapacité de respecter la durée de conservation des (très nombreuses) données qu’elle véhiculait au quotidien – à savoir des échanges oraux, à la fois de nature professionnelle et personnelle. Elle a notamment relevé que les informations de près de 2,5 millions de comptes français inutilisés depuis plus de trois années avaient été conservées par l’entreprise américaine. La CNIL a aussi noté que Discord avait manqué à son obligation d’information sur les durées de conservation, et que l’application vocale demeurait connectée à l’ordinateur lorsque l’utilisateur avait fermé la fenêtre. La sécurité des données personnelles a par ailleurs été pointée du doigt dans la mesure où le mot de passe de l’entreprise n’était pas suffisamment robuste (aucune variation entre les types de caractères n’était exigée), et qu’aucune étude d’impact relative à la protection des données n’avait été diligentée par Discord. 


Le temps du respect du RGPD est venu

Bien que relativement modeste eût égard aux quelque 400 M€ réclamés à Instagram par la CNIL, l’amende infligée à Discord pointe une différence d’approche patente entre la protection des données telle qu’elle est pratiquée au sein de l’Union Européenne, et celle qui est en vigueur Outre-Atlantique. Des organisations telles que Microsoft, Apple ou encore Clearview relèvent clairement d’une culture juridique où l’orientation business prédomine sur la défense du consommateur, c’est-à-dire du citoyen. Après quelques années au cours desquelles certaines pratiques ont été constatées sans engendrer de sanctions, nous sommes semble-t-il entrés dans une autre séquence. Estimant sans doute que les organisations – notamment celles qui sont basées hors de l’UE – ont largement eu le temps de s’acculturer au RGPD, la CNIL fait valoir son droit de faire respecter strictement la loi continentale. Une nouvelle que l’ensemble des délégués à la protection des données (DPO) doivent désormais pleinement intégrer, surtout en cas de retard de mise en conformité au sein de leur entreprise…

C’est sur ce point sans doute que les organisations (françaises comme étrangères) doivent actuellement se montrer vigilantes. La Journée Européenne de la Protection des Données à Caractère Personnel (Data Privacy Day) de ce 28 janvier est là pour nous rappeler combien les données personnelles relèvent d’un bien spécifique, sanctuarisé, précieux, dans un contexte tout à la fois marqué par une recrudescence des cyber-attaques, une instabilité internationale qui perdure et des transitions plurielles à mener. 

Au passage, cette journée symbolique du 28 janvier rappellera aux veilleurs comme aux entreprises férues d’intelligence économique la nature exacte de leur rôle lorsque des recherches sont opérées. Il est en effet de la responsabilité de chacun que les outils de curation utilisés ne captent pas de données personnelles, encore moins que celles-ci ne se retrouvent stockées au sein de serveurs professionnels. Une évidence qu’il est toujours bon de conserver à l’esprit…

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Le bulletin tech – 04 janvier 2023

L’ESSENTIEL DU MOIS :

Bonne et heureuse année 2023 !
Au menu cette semaine, la folie ChatGPT ne retombe pas au point même de s’attirer intérêt et inquiétude de la part de Google. BlaBlaCar se dote d’une API pour gérer son flux de données et enfin grand changement : le timbre rouge va disparaître au profit de la « e-lettre ».

 

Bonne lecture !


Sommaire

1. CONNECTEURS API

  • BlaBlaCar accélère l’ingestion de ses données marketing en simplifiant la gestion de ses API

 

2. IA

  • La Poste : au 1er janvier 2023, le timbre rouge va disparaître au profit de la « e-lettre »
  • Ce que chatGPT fait à la veille: l’orientation des besoins

 


1. CONNECTEURS API

BlaBlaCar accélère l’ingestion de ses données marketing en simplifiant la gestion de ses API – mardi 3 janvier 2023  

La plateforme BlaBlaCar, qui propose des services de mise en relation pour le covoiturage et des transports par bus, compte aujourd’hui près de 100 millions d’utilisateurs. Pour mieux gérer ses données marketing, l’entreprise a déployé la solution ELT (extract, load and transform) en mode SaaS Rivery.


2. IA

La Poste : au 1er janvier 2023, le timbre rouge va disparaître au profit de la “e-lettre” – mercredi 28 décembre 202

Au 1er janvier 2023, le timbre rouge, utilisé pour les expéditions de courrier en un jour, sera retiré de la vente. Son alternative, la e-lettre rouge, est déjà disponible sur le site de La Poste.


Ce que chatGPT fait à la veille : l’orientation des besoins – mercredi 4 janvier 2023

De fait, le vrai avantage actuel de ChatGPT sur Google n’est pas là mais dans la capacité du système à générer du contenu textuel (ou du code informatique!) sur tous types de sujets. Ainsi vous pouvez lui demander :

  • Ecris moi un essai sur la veille stratégique en 2000 mots.
  • Ecris une conclusion optimiste au document que voici (on ajoute le texte en question par un  copier-coller).
  • Rédige un haïku évoquant la Lune et le Soleil.
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Un bilan 2022 : le PoC, tendance de fond dans le secteur de la veille

L’heure du bilan a sonné pour le secteur de la veille. En 2022, parmi les tendances observées, il convient sans doute de retenir le développement de plus en plus fréquent de « Proof of Concept » (démonstration de faisabilité), sur fond de solutions portées par l’innovation.

Quels sont les enseignements à tirer de cette année 2022 dans le secteur de la veille informationnelle et stratégique ? Traditionnellement posée au moment d’effectuer un bilan annuel, la question invite toujours à jauger la période à l’aune de ses éléments de continuité ou, au contraire, des points de rupture. Comme souvent, la réalité se situe quelque part à mi-chemin entre l’un et l’autre…


Continuité : un marché d’abord mou… puis dynamique

Parmi les éléments de continuité, il convient sans doute de citer la dynamique faible et active du marché. D’un point de vue général, les organisations privées ou publiques qui développent une activité de veille dans leur secteur se sont faites remarquer en 2022 par leur relatif attentisme initial. Le marché a ainsi été relativement calme pendant les huit premiers mois de l’année, avant de se dynamiser à partir de la rentrée de septembre. Et cela n’est pas surprenant. Depuis trois années, les acteurs que sont les éditeurs de solutions de veille se sont peu ou prou habitués à cet effet de double détente : dans un contexte incertain marqué par la crise sanitaire puis récemment par la guerre russo-ukrainienne, les entreprises observent une certaine prudence, qui se traduit en premier lieu par de l’attentisme. Même si leurs budgets de veille ont été votés, elles n’engagent pas leurs dépenses immédiatement, sans doute afin de pouvoir mieux agir si de nouvelles transitions – pour ne pas dire de nouvelles crises – venaient à apparaitre.

Autre élément de continuité à signaler cette année : la rationalisation du secteur de la veille. De nombreux grands comptes opèrent des actions de centralisation et de consolidation, sur fond d’acquisitions. Longtemps disséminées au cœur de plusieurs divisions ou entreprises appartenant à des groupes, les cellules de veille tendent à se structurer.


Une veille sur mesure

Dans ce contexte évolutif, nous observons que la veille se doit de plus en plus d’être structurée sur mesure. Qu’il s’agisse des grands groupes, des ETI ou des PME, quel que soit le secteur, il est impératif que les éditeurs de veille déploient leurs offres au plus près des besoins des acteurs économiques. C’est ici d’une approche humaine dont il est question, une démarche de proximité qui amène l’éditeur à s’investir dans la réussite du projet. Certes, il est toujours question de vendre une solution, voire dans certains cas un service, mais dans une logique d’accompagnement. Une telle approche, éminemment humaine, est de plus en plus valorisée et recherchée par les organisations. Il est ici impératif de s’adapter à des besoins différents : un département entièrement dédié à la veille au sein d’un grand compte n’aura pas les mêmes aspirations qu’une veille éclatée, reposant sur des chargés de veille ou des correspondants disséminés à maints endroits de l’entreprise.

Le temps de la vente sur étagère est ainsi bel et bien révolu, si tant est qu’il ait existé un jour. Entendre les besoins du client, passer du temps avec lui, s’imprégner de ses objectifs, de ses contraintes, de sa structuration organisationnelle… Tout ceci compte afin de développer la solution de veille qui prendra in fine le mieux en compte l’identité et les besoins de l’organisation.


Le Proof of Concept : un passage de plus en plus fréquent

Afin de parvenir à ces objectifs, il semble de plus en plus nécessaire pour les éditeurs de prouver la qualité et la juste mesure de la solution de veille. Un nombre croissant d’entreprises souhaite ici passer par des séquences de PoC (Proof of Concept, ou démonstration de faisabilité). Rémunérées, ces PoC vont permettre à l’organisation de mieux jauger la capacité du sous-traitant à pérenniser le projet de veille. Pendant plusieurs semaines (souvent deux à trois mois), il sera question d’identifier les sources pertinentes pour la veille, de prendre en considération les thématiques ou encore de travailler l’opérationnel en affinant l’outil. Au bout du compte, un jugement pourra être posé, contribuant à pérenniser et à sécuriser le dossier. En 2022, force est de constater que ces PoC ont été plus nombreux que précédemment et constituent sans nul doute une tendance de fond.

Dernier élément marquant à signaler au cours de ces derniers mois : le développement du volet innovation. En 2022, les solutions de veille ont proposé de plus en plus de fonctionnalités à leurs clients. Outre les mises à jour, les équipes de veille sont en quête d’outils à haute valeur ajoutée. Elles recherchent des modules collaboratifs, qui vont permettre à chaque utilisateur de remonter des informations, de produire du chat, c’est-à-dire de devenir des veilleurs eux-mêmes. Elles recherchent également des fonctionnalités de type speech-to-text, qui permettent de transcrire par écrit des éléments audio ou vidéo parfois longs et techniques. De cette manière, la veille est plus complète, permettant d’avoir de la visibilité partagée sur des podcasts, des webinaires ou des conférences. Une tendance que l’on devrait retrouver dans les mois à venir, c’est-à-dire dès 2023…

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Fake news, mauvaises données : quand le « bruit » s’en mêle…

Nos systèmes d’information se caractérisent par la production exponentielle d’actualités, lesquelles dépassent les capacités d’analyse des organisations. Confronté à un tel « bruit », le veilleur peut aider… même s’il n’aura jamais réponse à tout.

Saviez-vous qu’en France 75% des malades du COVID étaient vaccinés ? Que la France importe de l’uranium de Russie ? Que plus de la moitié des demandeurs d’emplois de l’hexagone ne sont pas indemnisés ? Voici quelques exemples, plus ou moins récents, de fake news, des informations au sujet desquelles la vérification (et le démenti !) s’impose clairement.


Séparer le grain de l’ivraie grâce au veilleur

Certes, face à des informations aussi grossières que celles-ci, nous pouvons estimer que les organisations ont globalement la capacité à séparer le grain de l’ivraie : les équipes de veille sont là pour ça. Confronté au phénomène de la fake news, un professionnel de la veille se posera par exemple des questions liées à l’émetteur de l’information. Qui est-il ? Quels liens entretient cet auteur avec le sujet traité ? Quels intérêts potentiels a-t-il à soutenir une théorie plutôt qu’une autre ? Il accordera également une attention spécifique aux petits indices : date de l’article, style et qualité de la nouvelle… Il croisera encore les informations, et effectuera en cas de doute des recherches sur des sources additionnelles. Il écartera ainsi les sites à caractère commercial, accordera du crédit aux plateformes institutionnelles, et mobilisera en cas de doute son raisonnement pratique. L’objectif ultime étant de définir et de parvenir à isoler ce que l’on appelle la « bonne information », celle qui ne peut être remise en cause dans ses fondements.


Informations : plusieurs vers sont dans le fruit

Mais les fake news ne sont pas les seules informations douteuses auxquelles les organisations sont exposées au quotidien. En réalité, plusieurs vers sont désormais dans le fruit de l’écosystème informationnel : fausses informations bien sûr, mais également rumeurs relayées puissamment – particulièrement par les réseaux sociaux – et nouvelles erronées. Un groupe aéronautique annonce la vente de plusieurs de ses avions à une puissance étrangère ? La « machine à produire du bruit » se met en route instantanément. Elle charriera des informations aussi diverses que la médiatisation de son dirigeant principal, l’histoire de l’entreprise pendant la Seconde Guerre mondiale, l’engagement politique d’un membre de la famille dirigeant le groupe, voire les errances de tel ou tel dirigeant de la société, intervenues il y a parfois plus de 10 ans…

Face à un tel patchwork, une organisation intéressée par l’information première (la vente d’avions à un pays tiers) doit poser un regard rigoureux. Pour ce faire, le veilleur ou l’« homme métier » agira en accordant par exemple une importance toute particulière aux sources à mobiliser, mais aussi à la consolidation des données collectées. Comme pour les fake news, il croisera plusieurs éléments et se fera peu ou prou une opinion, qu’il pourra par la suite partager au sein de sa propre organisation.

Lié à la dynamique puissante d’infobésité, le « bruit » est peu à peu devenu un écran qui -éloigne les organisations d’une vision claire sur leur environnement. Il agit en cela directement sur le pilotage de l’entreprise, et donc sur sa stratégie de développement. C’est ici que le veilleur comme l’« homme métier » sont d’une aide précieuse. Ils bénéficient dans leur quête de plateformes de veille efficaces, conçues pour remonter les informations les plus consolidées possibles (y-compris issues de podcasts ou de vidéos). Sans pour autant être infaillible, le veilleur permettra ainsi aux dirigeants de l’entreprise de mieux prendre la mesure des enjeux qui sont les leurs, et de mieux distinguer la route à suivre.

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Un jour un métier

Pierre MOUSSARD, 42 ans travaille chez KB Crawl depuis 2006 où il a commencé en tant que développeur spécifique dans le milieu bancaire puis a accédé au poste d’Ingénieur Senior Software en charge du Crawler.


Quel est votre parcours scolaire ?

J’ai d’abord obtenu un BTS CPI (Conception des Produits Industriels). Ne voulant pas m’arrêter là, j’ai fait une prépa ATS (Adaptation Technicien Supérieur) pour intégrer par la suite l’ISAE-Supméca (à l’époque nommée CESTI) débouchant sur un diplôme d’ingénieur en mécatronique.


Quelle a été votre expérience avant KB Crawl et comment avez-vous connu la veille chez KB Crawl ?

J’ai été ingénieur production aux Grands Moulins de Paris, en charge de la création et de la conduite d’un outil de gestion de production. J’ai par la suite connu KB Intelligence, puis KB Crawl, via Bruno Etienne, son président-fondateur. C’est en 2006 que j’ai intégré la société, d’abord en charge de produits spécifiques dans le milieu bancaire. 


Pourquoi KB Crawl ? 

 C’est une entreprise à taille humaine, basée sur des principes solides tels que l’innovation, la recherche, l’écoute du client et le relationnel. Ajoutées à cela des équipes soudées ayant une bonne interaction. 


Quelles sont vos fonctions en tant qu’Ingénieur Senior Software ? 

Je suis responsable du produit Crawler chez KB Crawl, de son évolution, de ses adaptations en fonction de demandes et remontées faites, que ce soit en interne ou par les utilisateurs. 


Quelles sont les missions qui vous plaisent le plus dans le poste d’Ingénieur Senior Software ?

L’innovation, la recherche. Pouvoir faire évoluer le produit en fonction des demandes, des nouvelles technologies. Répondre aux attentes des utilisateurs, les aider, que ce soit dans leur utilisation du produit, mais aussi dans leur métier. 


Pouvez-vous décrire une journée « type » d’un Ingénieur Senior Software ?

Une journée « type » a toujours un socle, une base : le produit. S’articulent autour de cette base différents axes, qui peuvent être la maintenance du produit, la création de nouvelles fonctionnalités, l’aide à son utilisation. S’ajoutent aussi la recherche et l’écoute des nouveautés en matière de développement ou technologiques.


Quels sont les qualités d’un Ingénieur Senior Software ?

L’écoute, la réactivité, être force de proposition. Dans le monde du développement, tout comme dans celui de la veille, tout va très vite. Nous devons savoir anticiper, connaître et apporter des réponses claires et précises, ainsi que des solutions ou innovations attendues. 

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Un jour un métier

Louise TATON, 24 ans travaille chez KB Crawl depuis 1 an en tant que Consultante-Formatrice en Intelligence Économique. 


Quel est votre parcours scolaire  ?  

Après un BAC ES obtenu au Lycée Français International de Hong Kong, où j’ai effectué toute ma scolarité, je suis partie étudier en France. J’ai commencé mes études supérieures par un Bachelor en Relations Internationales à l’ILERI à Paris. 

Après avoir effectué un échange universitaire de 6 mois à l’Université de Limerick en Irlande, j’ai terminé mes études avec un Master en Intelligence Economique à l’ILERI. 


Quelle a été votre expérience avant KB Crawl et comment avez-vous connu la veille chez KB Crawl ?  

Stage de 2 mois en première année d’étude – en marketing chez le chef cuisinier Alain Ducasse (dans la branche Alain Ducasse Conseil) – mission : m’occuper du markéting de la marque sur les réseaux sociaux, de gérer les réservations pour les différents restaurants et de préparer des invitations pour divers “influenceurs food”. 

Stage de 2 mois en 2e année d’étude au Ministère des Armées à la Marine Nationale dans le Bureau de Coopération Bilatérale – mission : participation à l’organisation du Symposium du Golfe de Guinée. 

Stage de 2 mois en 3e année d’étude à Toulon au FMES (Fondation Méditerranéenne D’Etudes Stratégiques) – mission : participation à la rédaction d’articles de fond et de brèves sur des thématiques essentiellement militaires et maritimes pour l’IHEDN. 

Master 1 – pas de stage car Covid mais montée une entreprise avec mon père pour distribuer des masques chirurgicaux et FFP2 aux hôpitaux, pharmacies, maisons de retraites, Ehpad, magasins de proximité etc…en France pour aider, parce qu’il y avait une pénurie et parce que mon père avait des contacts avec des usines qui produisaient des masques en Chine.  

Master 2 en alternance pendant 1 an dans le service des radars civils (radars qui détectent les avions commerciaux et de tourisme) – mission : faire de la veille marché, concurrentielle + sur les installations des différents radars pour pouvoir proposer des mises à jour ou de nouvelles installations sur les différents radars de chaque pays -> Aller chercher l’offre plutôt que d’attendre que les différents pays clients fassent des appels d’offre. 

J’ai connu la veille chez KB Crawl grâce à mon année en alternance. De nombreux outils étaient mis en concurrence et mon équipe m’avait parlé de KB Crawl. Nous n’utilisions pas KB Cawl pour notre veille mais j’ai eu l’occasion de voir l’outil en démo auparavant. 


Pourquoi KB Crawl ?

Je connaissais déjà un petit peu l’outil grâce à mon alternance et je savais que KB Crawl était reconnue comme une référence incontournable sur le marché des solutions de veille. 

J’ai postulé par curiosité et je suis ravie de faire maintenant partie de l’équipe. L’environnement de travail est stimulant et il y a une excellente entente entre tous les membres de l’équipe. 


Quelles sont vos fonctions en tant que Consultante – Formatrice en Intelligence Economique ? 

Mes principales fonctions sont de participer au paramétrage des solutions dédiées à chacun des clients et projets puis d’en assurer le suivi fonctionnel.  


Quelles sont les missions qui vous plaisent le plus dans le poste de Consultante – Formatrice en Intelligence Economique ? 

Les missions qui me plaisent le plus en tant que Consultante formatrice en intelligence économique sont les formations et les mises en place de projets avec les nouveaux clients. 

J’aime être au contact du client et voir leur projet de veille se réaliser grâce à KB Crawl. 


Pouvez-vous décrire une journée « type » d’un(e) Consultant(e) – Formateur(rice) en Intelligence Economique ?  

C’est assez difficile de décrire une journée type car aucune ne se ressemble.  

Il accompagne les clients dans leur veille tout au long de la vie de leur projet. 

Il peut réaliser des veilles externalisées ou des prestations pour nos clients, s’occuper du design des plateformes de diffusion de l’information, du paramétrage des sources dans le Crawler tout comme apporter un support fonctionnel ou former des clients. 


Quels sont les qualités d’un(e) Consultant(e) – Formateur(rice) en Intelligence Economique chez KB Crawl  ?  

Les qualités d’une consultante formatrice en intelligence économique vont au-delà des compétences techniques essentielles pour faire de la veille. Une bonne consultante formatrice devra veiller à avoir de bonnes qualités relationnelles (savoir-être), des qualités oratoires et expressives, une capacité d’écoute, une patience et des méthodes pédagogiques efficaces pour les formations. 

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La veille : un levier d’agilité stratégique pour les banques

Alors que se déroule le 4 décembre la journée internationale des banques, il est intéressant de rappeler combien le secteur bancaire s’appuie sur des actions de veille plurielles afin d’assurer son développement.

Il n’est un secret pour personne que le secteur bancaire est soumis à une règlementation à la fois contraignante et changeante. Jour après jour, chaque banque doit impérativement être en capacité d’identifier tout changement intervenant parmi les règles en vigueur afin de s’adapter au plus vite, quand ce n’est pas d’anticiper des mouvements afin de répondre aux attentes de ses clients. C’est en cela que la veille se révèle, pour l’ensemble des acteurs bancaires, d’une nécessité capitale. Mais elle est loin de ne servir que ce seul cadre règlementaire…


Un ensemble pluriel de métiers, nécessitant une veille spécifique

Le secteur de la banque se subdivise en trois champs : la banque de détail (également appelée personal finance), la banque d’affaires et le secteur des marchés. Outre ce cœur historique, les banques ont au fil des années opéré de nombreux investissements et se sont déployées sur d’autres métiers. Les banques sont ainsi positionnées dans le secteur de la construction. Elles ont pour la plupart également investi dans des filiales de location de voitures de flotte, à l’image d’ALD Automotive pour la Société Générale ou Arval pour BNP-Paribas. Elles ont encore intégré le marché de l’assurance, au sein duquel la partie règlementaire est également primordiale, ainsi que le champ de la gestion de patrimoine. Positionnées de la sorte, les banques agrègent un ensemble diversifié de métiers et de fonctions, qui chacun présente ses propres spécificités. La veille qui s’y rattache doit se conjuguer au pluriel : elle est tout à la fois règlementaire, concurrentielle et en prise directe avec l’évolution permanente des marchés.


Un secteur en proie à de fortes dynamiques

La veille règlementaire, nous l’avons dit, fait partie des actions classiques. Elle est primordiale et nécessite l’utilisation d’outils de veille particulièrement fins, en capacité de tirer le meilleur parti d’une information exponentielle et technique. Cette veille joue à plein sur les dynamiques organisationnelles des banques. Une évolution règlementaire (un changement de taux par exemple, ou encore des mesures nouvelles permettant de lutter contre la fraude et le blanchiment) entraîne en effet d’importants investissements algorithmiques, informatiques et promotionnels parmi les équipes afin de se mettre en adéquation avec le nouveau cadre. Ces changements sont permanents, et les établissements bancaires se révèlent particulièrement attentifs aux signaux faibles qu’ils peuvent identifier à travers leur veille. Objectif : repérer au plus tôt toute évolution dans le but de se structurer en interne, et ainsi d’être prêt le jour J vis-à-vis des clients – qu’ils soient personnels ou professionnels. Même chose pour ce qui relève des marchés : le secteur est en proie à de fortes dynamiques, dont les effets sont directs sur de nombreux produits bancaires. Là encore, il faut être en capacité de s’organiser collectivement de manière agile.


Veiller l’innovation

Cette précision et cette granularité de l’information sont également de mise lorsqu’il s’agit de surveiller certains secteurs clés pour l’avenir. Les banques veillent par exemple la fintech, les start-up, l’innovation. Elles manifestent un intérêt pour la dématérialisation de la monnaie. Elles sont également très attentives au positionnement des néo-banques, ce qui les a amenées à proposer à leur tour des services comparables. Elles gardent depuis toujours un œil aiguisé sur le déploiement des cryptomonnaies, au sein d’un univers qui demeure mondialisé. 

Dans un tel contexte, les grands établissements bancaires se révèlent en capacité de s’adapter à la concurrence, voire d’innover en un temps record. Il faut se rendre compte du niveau de performance qui est le leur : les virages pris par les banques sont parfois très vifs, alors même que l’on parle d’organisations présentes dans parfois plus de 60 pays, comptabilisant près de 200 000 collaborateurs… C’est en grande partie en investissant dans des actions de veille plurielles que ces établissements gigantesques parviennent à se réorganiser – voire à se réinventer – au jour le jour. 

Depuis de nombreuses années, les banques n’ont de cesse d’aller chercher de nouvelles clientèles, de se diversifier, de rationaliser leurs actions, de s’appuyer sur des filiales à l’agilité reconnue. Pour ce faire, le rayonnement de leur veille est mondial, et l’observation dont ils font preuve sert directement leurs décisions. Du côté des éditeurs de solution de veille, ce secteur est particulièrement important, et comporte une exigence tout à la fois technique et organisationnelle. Car s’il convient bien sûr de proposer aux banques des solutions performantes, il est également primordial de bien comprendre le sens de leurs actions, de leur offrir une écoute ainsi que des solutions qui les aideront à être encore plus agiles.

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Souveraineté des données : bon sens et pragmatisme avant tout

La souveraineté des données est une question centrale pour les entreprises, notamment dans le cadre de la structuration d’une cellule de veille. En l’espèce, si certaines certifications peuvent se révéler opportunes, c’est en étant pragmatique que l’on peut efficacement se prémunir contre une fuite.

Au regard du contexte international et des évolutions récentes des équilibres géostratégiques, on aurait tendance à penser que la souveraineté de la donnée est un point particulièrement visé par les entreprises en quête d’une solution de veille : il n’en est rien. Cette souveraineté est en effet un point qui a toujours été essentiel pour les organisations, quel que soit leur secteur d’appartenance ou leur taille.


Assurer son espace de stockage

La souveraineté de la donnée fait écho à un ensemble d’éléments. Elle est intimement liée à l’origine de la data ainsi qu’à ses modalités de stockage. La donnée doit appartenir à l’entreprise qui la génère, et ne doit subir aucune fuite de l’espace où elle se trouve stockée. C’est un premier niveau de compréhension du sujet, qui s’articule à un second : la localisation exacte de l’espace qui contient cette data. Où se situe celle-ci : en France ? Au sein de l’Union Européenne ? Hors Union Européenne ? On comprend ici que les organisations préfèreront que leurs données soient stockées au sein de l’Hexagone, avec quelques assurances complémentaires. Ainsi, afin de sécuriser au maximum l’intégrité de la donnée, il peut être important de la stocker sur deux serveurs distincts. Si l’un d’entre eux est attaqué, altéré ou détruit, l’autre joue en quelque sorte le rôle de coffre-fort supplémentaire. Pour synthétiser sur ce point, l’on pourrait dire que les organisations sont en recherche de maîtrise et de sécurité.


Des actes simples

En France, cette maîtrise et cette sécurité s’inscrivent dans le cadre d’une politique publique dont la vitrine est l’Anssi, l’agence nationale de la sécurité des systèmes d’information. Celle-ci prend de plus en plus de poids en matière de souveraineté des données. Pour elle, en toute logique, la lutte contre le cyberterrorisme et la cybercriminalité passe par la protection des intérêts des entreprises qui constituent le patrimoine économique français. À cet effet, l’agence de l’Etat développe des réponses évolutives, mais également tout un ensemble de process qui, parfois, peuvent se révéler lourds. C’est le cas par exemple de la certification Opérateur de sécurité du Cloud, qui est appliquée aux éditeurs de solutions alors même que les entreprises clientes elles-mêmes ne demandent pas une telle assurance. Gare ici à l’excès de procédures, dont la portée n’est pas toujours évidente à comprendre dans un marché mondialisé…
En réalité, la souveraineté de la donnée s’effectue surtout par des actes simples, le plus souvent méconnus du grand public et donc des hackeurs potentiels. Pour vivre heureux, vivons cachés ! Et soyons également très pragmatiques.

En matière de veille, c’est sur la notion d’enrichissement qu’une attention doit être spécifiquement portée. En diffusant certaines informations au cœur de leur organisation, nombre de veilleurs commentent et analysent l’information. Ils peuvent se révéler très précis, notamment lorsqu’ils s’adressent à des publics particuliers, internes à l’entreprise. Il n’est pas rare alors qu’ils joignent à l’information transmise un rapport confidentiel, une note stratégique, voire une étude ou une enquête qui n’a pas vocation à être largement diffusée. Gare à ce que de tels documents, éminemment sensibles, ne fuitent pas ! Car avec eux, c’est un peu du savoir et de la stratégie de l’entreprise qui peut se retrouver sur la place publique…

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Le bulletin tech – 18 novembre 2022

L’ESSENTIEL DU MOIS :

Sauve qui peut ! Twitter, Amazon et Meta, trois des géants GAFAM font face à une crise sans précédent avec des licenciements en masse. Des projets utopiques qui conduisent dans la réalité à des situations délicates.
Dans cette édition, l’IA au service des utilisateurs pour créer du contenu vidéo simplement à l’aide d’un texte, le développement d’une IA pour détecter les deepfakes et enfin, Odaptos, permettant de discerner les émotions liées à des contenus.

Bonne lecture ! 


Sommaire

1. IA

  • Intel a développé une IA capable de détecter des deepfakes en temps réel – Les Numériques
  • Comment l’IA de Movio va créer vos vidéos marketing automatiques

 

2. NLP

  • NLU : à quoi ça sert et comment elle fonctionne ? 

 

3. OPINION MINING

  • Odaptos : l’intelligence artificielle pour analyser les émotions – Archimag

 


1. IA

Intel a développé une IA capable de détecter des deepfakes en temps réel – Les Numériques

Intel a développé une intelligence artificielle capable de détecter une vidéo deepfake en temps réel. Cette technologie, qui identifierait ces vidéos en quelques millisecondes, aurait 96 % de précision.


Comment l’IA de Movio va créer vos vidéos marketing automatiquement

L’intelligence artificielle de la startup Movio peut créer des vidéos marketing automatiquement à partir de textes. Movio propose une plateforme d’intelligence artificielle permettant de créer automatiquement des vidéos de marketing à partir d’un simple texte. Désormais implantée en Californie, la startup chinoise espère séduire les marketeurs du monde entier en les laissant créer des contenus novateurs très facilement…


2. NLP

NLU : à quoi ça sert et comment elle fonctionne ?

Le NLU est tout d’abord l’acronyme de Natural Language Understanding, ce qui signifie  compréhension du langage naturel. C’est une technologie qui est liée à l’IA (Intelligence Artificielle) et au Machine Learning. Ccomme son nom l’indique, le NLU vise notamment à automatiser la compréhension du langage naturel. En tant que tel, celle-ci se rattache directement à la technologie de langage naturel tel que le Natural Language Processing. Plus exactement, il s’agit d’une branche de la NLP.


3. OPINION MINING

Odaptos : l’intelligence artificielle pour analyser les émotions

Odaptos mêle expérience utilisateur et intelligence artificielle. La start-up a ainsi créé une solution permettant à ses clients de mieux adapter leurs applications web ou mobiles en fonction des émotions de leurs utilisateurs.
Odaptos repose sur l’intelligence artificielle (IA) dédiée à la détection des émotions humaines des utilisateurs. Grâce à elle, nos clients peuvent tester leurs applications web ou mobiles, détecter les besoins de leurs consommateurs (émotions ressenties, interrogations, etc.) et adapter leurs interfaces.

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CP “Une solution de veille KB Crawl externalisée et personnalisée pour votre secteur d’activité grâce à KB Intelligence”

KB Intelligence est le service d’externalisation de veille sur-mesure proposé par l’entreprise KB Crawl aux entreprises soucieuses d’obtenir une expérience de veille entièrement personnalisable.

Paris, le 13 octobre 2022 – KB Crawl, l’un des leaders français dans les solutions et services de veille pour les entreprises, vous offre toutes les fonctionnalités de son outil phare KB Intelligence, développées et pensées spécifiquement pour votre domaine d’activité. Chaque client étant unique, chaque projet mérite d’être traité de manière individualisée à travers toute l’expérience et l’expertise de consultants dédiés. KB Crawl en est persuadé. C’est pourquoi l’entreprise française vous propose d’externaliser votre veille en l’adaptant à vos besoins spécifiques via sa solution KB Intelligence. KB Intelligence permet l’implémentation du projet de veille et d’intelligence économique en s’assurant du respect de vos intérêts particuliers et de vos délais.


Une externalisation de la veille pour une surveillance permanente de chaque environnement

KB Intelligence vous permet d’externaliser votre veille : la solution comprend une équipe de professionnels expérimentés dédiés à votre activité. Les veilleurs experts de KB Crawl réalisent une surveillance pertinente des informations décisionnelles pour vous permettre d’établir votre stratégie et votre plan d’action. Grâce à son expérience approfondie du secteur, sa réactivité et sa flexibilité, KB Crawl vous permet de bénéficier d’un sérieux avantage compétitif afin de répondre à vos principaux objectifs : vous tenir informé des innovations de votre secteur, anticiper les évolutions du marché comme les besoins de vos clients et surveiller votre environnement ainsi que votre e-réputation. 

La méthode déployée est rigoureuse et progressive. Dans un premier temps, les équipes de veille de KB Crawl déterminent le périmètre de veille : il s’agit alors de de répondre à vos besoins. À ce stade, il est essentiel de définir les secteurs d’activité́ à mettre sous surveillance, les populations à alimenter, ainsi que d’organiser le décloisonnement de la veille. L’ensemble des prestations sont ensuite réalisées en priorité par le chef de projet qui suit le dossier de l’entreprise. L’équipe de consultants est enfin formée à la prestation et un transfert de compétence est organisé en interne afin qu’il n’y ait jamais de discontinuité de service.


Une solution de veille personnalisée pour satisfaire les plus hautes exigences

Grâce à KB Intelligence, KB Crawl propose une offre entièrement personnalisée qui correspond aux besoins spécifiques de chaque secteur. Par exemple, l’entreprise a conçu une solution de veille totalement adaptable au secteur pharmaceutique ou au secteur bancaire pour un gain de temps et un ciblage stratégique spécifique. Grâce à KB Crawl, la surveillance des nouvelles structures et des collaborations peut faire rapidement progresser vos projets et donner une longueur d’avance à ceux qui sauront en tirer le meilleur parti. La prestation KB Crawl permet de lutter contre le manque ou le surplus d’informations, et ainsi d’éviter l’incertitude, puisque le projet de veille est parfaitement réfléchi et appliqué à chaque branche : veille règlementaireveille scientifiqueveille concurrentielle, veille due-diligence, veille marché et veille innovation. La quête d’informations stratégiques permet alors une meilleure prise de décision.

Pour les secteurs spécifiques, qui demandent une stratégie de veille particulièrement rigoureuse, KB Intelligence permet l’externalisation sur-mesure du projet de veille, en phase avec les besoins précis de l’entreprise. Ainsi, les lecteurs de la veille s’alimentent de l’ensemble des informations qui concernent tous les domaines de leur secteur d’activité, de manière spécifique et transverse à la fois. KB Crawl permet dès lors à chaque lecteur de consulter les informations concernant son corps de métier et de s’informer en temps réel, grâce à l’application mobile et aux alertes mails. L’outil facilite également l’accès aux informations transverses en permettant aux collaborateurs de communiquer entre eux et propose des outils d’analyse pour identifier les tendances. Dans le but de satisfaire l’objectif principal de transversalité de la veille et transformer les données en décisions.


À propos de KB Crawl SAS :

KB Crawl SAS est un leader français dans les solutions et services de veilles pour les entreprises. Créée en 2002 et basée en France, la société compte plus de 100 000 utilisateurs de ses solutions dans le monde. KB Crawl SAS aide ses clients à améliorer leurs performances en leur offrant des services et des solutions innovantes afin de mener les actions adéquates pour la mise en œuvre de leur stratégie.

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