Newsletter mars 2022

EDITO

En ce mois de mars qui voit revenir le printemps, l’incertitude revient également pour tout un chacun. Qu’il s’agisse d’une élection ou d’un conflit armé, l’information revêt une importance stratégique et les cellules de « fact checking » fleurissent comme les jonquilles dans les jardins.
Mais pour les organisations grandes, petites, publiques, privées qui ont su se doter d’une cellule de veille, il est temps de mettre en avant le travail de ces personnes qui dans l’ombre sourcent, détectent, analysent, interprètent, diffusent les informations capitales pour une meilleure prise de décision car il faut intégrer rapidement l’Information et réagir en optimisant ses pratiques.
Dans un environnement en constante mutation, la mondialisation des échanges crée des flux permanents de marchandises et de données. La multiplication des sources fragmente l’audience mais surtout apporte chaque jour de plus en plus d’informations jusqu’à saturation.
Le rôle des veilleurs est alors primordial. Aujourd’hui aucune machine, aucun robot ne sait faire ce que l’être humain peut faire. D’énormes progrès ont bien sûr été réalisés et nous avons mis à la disposition des équipes de veille, tout un tas d’outils leur permettant de gagner du temps dans leurs tâches quotidiennes.
Le choix d’un article plutôt qu’un autre, la qualité d’une rédaction ou la clarté des données exposées vont notamment être des critères de diffusion. L’information n’est pas seulement une suite de mots ou d’images. La véracité d’un article, d’un témoignage, d’un reportage se juge également par comparaison de nos mémoires mais également avec un élément que les robots n’ont pas : la subjectivité humaine. Notre monde est ainsi fait et l’actualité nous le rappelle : le jugement d’un seul peut parfois tout changer.

Arnaud MARQUANT

ZOOM SUR…

  • SAVE THE DATE  – WEBINAR :

📅 Jeudi 24 mars 2022 

 

⏰ 10h00 à 11h00 AM

 

👉 “L’automatisation par l’IA du cycle de la veille grâce à KB Suite”

 

👥 Intervenants : Eric BERTOLETTI, responsable business développement chez KB Crawl SAS et avec Martin RENGARD, consultant-formateur en Intelligence Economique chez KB Crawl SAS 🌐

 

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L’accès à l’information est aussi un enjeu pour les veilleurs !

La journée contre la censure sur internet est l’occasion de faire toute la lumière sur la nécessité de bénéficier d’une information de qualité, hors de toute propagande d’Etat. Dans les pays démocratiques, elle est aussi là pour attirer notre attention sur l’importance de l’accès à l’information pour les veilleurs. Les stratégies des entreprises en dépendent.

La journée internationale pour la liberté d’expression sur Internet qui se déroule ce samedi 12 mars 2022 entre en résonance avec le contexte international. Depuis quelques jours, le conflit armé majeur qui se déroule aux portes de l’Union Européenne focalise notamment l’attention sur la véracité des informations dont nous disposons. 


La qualité de l’information : un prérequis démocratique

Comment y voir clair dans cette guerre qui a vu la Russie envahir l’Ukraine dans la nuit du 23 au 24 février ? Qui croire ? On comprend bien ici que l’information qui nous est délivrée peut être plus ou moins verrouillée en fonction des pays et des médias, voire des intérêts des uns et des autres. Nous observons également de quelle manière la qualité de l’information est à corréler au régime politique du pays dont elle émane. Il n’est un secret pour personne que les temps de crises sont aussi ceux de toutes les propagandes…

La période que nous vivons nous le rappelle avec insistance : bénéficier d’une information de qualité est un enjeu politique et démocratique. Cette nécessité informationnelle est bien entendu connue, et a été théorisée depuis longtemps. De John Stuart Mill à Jürgen Habermas, sans oublier Robert Dahl et son ouvrage Qui gouverne ? paru en 1961, les analystes et théoriciens de la démocratie ont depuis longtemps fait la démonstration selon laquelle la connaissance et l’information étaient indispensables au bon déroulement de la vie démocratique.


L’accès à l’information : une nécessité pour les veilleurs

Mais si l’information est nécessaire au bon exercice de la vie politique, sociale et citoyenne, elle l’est tout autant du point de vue des entreprises et plus largement des organisations privées ou publiques. Car la période actuelle n’est pas tant une époque de conflits armés qu’une ère de transitions qu’il convient de conjuguer au pluriel. Crise sanitaire, crise environnementale, crise économique, crise sociale… Nous percevons de plus en plus – et la guerre en Ukraine est là pour achever de nous en convaincre – que nous vivons dans un monde happé par des mutations profondes. 

Dans un tel contexte, la veille informationnelle revêt une importance plus capitale que jamais. Le veilleur et les outils dont il dispose (particulièrement ceux qui reposent sur l’intelligence artificielle) représentent de véritables boussoles pour les équipes de direction, qu’il s’agisse de celles en charge du marketing, des finances ou plus globalement de la stratégie de l’entreprise. Comment parvenir à effectuer convenablement ce travail alors que l’information est devenue un enjeu de pouvoir, voire un enjeu économique ? C’est ici que, selon moi, le bât blesse plus largement encore que l’on pourrait le penser. Car l’information n’est pas seulement muselée par le pouvoir, surtout dans notre pays où la démocratie est une réalité : elle est surtout l’objet d’un protectionnisme à visée financière, qui n’a eu de cesse de progresser ces derniers temps. Aujourd’hui, nombre de veilleurs ne sont plus en mesure de surveiller certains sites afin d’avoir de l’information. Certains médias, certains éditeurs, certaines plateformes se renferment en conservant l’information pour leurs seuls abonnés. Parce qu’il est payant, l’accès à celle-ci s’en trouve empêché, rendant difficile tout travail de veille digne de ce nom.

Dans de telles conditions, il serait sans doute opportun de permettre aux professionnels que sont nos veilleurs d’avoir accès à une information la plus large possible. Dans le contexte de transitions actuel, les intérêts des organisations privées et publiques en seraient mieux défendus, et leur capacité à engager les stratégies les plus adaptées certainement plus aisée.

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Un jour un métier

Un jour un métier

Eric BERTOLETTI, 49 ans travaille chez KB Crawl depuis 2009 où il a commencé en tant qu’Ingénieur d’Affaires puis a accéder au poste de Responsable Business Développement. 


Quel est votre parcours scolaire ?

« Après l’obtention de mon bac ES, j’ai intégré une école de Commerce Européenne  INSEEC jusqu’au Master 1. »


Quelle est a été votre expérience avant KB Crawl et comment avez-vous connu la veille chez KB Crawl ?

« Je suis commercial depuis 1997, d’abord auprès d’éditeurs de solutions de Business Intelligence (Business Objects, Brio Software…), j’ai ensuite évolué vers des éditeurs de solution de Compétitive Intelligence (solutions de veille web). Avant d’arriver chez KB Crawl (en 2009) j’évoluais comme Ingénieur d’Affaires chez un autre éditeur de solutions de veille. Je « navigue » donc dans le secteur de la veille stratégique depuis 2005. »


Pourquoi KB Crawl ?

« J’ai fait le choix de rejoindre KB Crawl par goût du challenge. En effet, mon recrutement chez KB Crawl faisait écho à la volonté affichée de la société, d’accélérer son développement commercial. Ma connaissance des solutions de veille en SaaS était un réel plus pour KB Crawl qui souhaitait à l’époque passer d’une solution monoposte à une solution SaaS. Enfin, le fait de rejoindre une petite structure affichant de réelles ambitions de croissance correspondait parfaitement aux types de structures avec lesquelles j’ai envie d’évoluer. »


Quelles sont vos fonctions en tant que Responsable Business Développement ?

« En tant que Responsable du Business Développement, j’ai pour mission première d’accroitre le chiffre d’affaires global de l’entreprise, notamment par l’acquisition de nouveaux clients. Ceci inclut les activités suivantes : 

  • Communication marketing multicanale (mailing, publication sur les media sociaux, salons, conférences etc.)
  • Prospection / Prises de contact
  • Rendez-vous de présentation
  • Propositions / négociations
  • Accompagnement des clients (suivi et conseil)

Depuis 2021, j’ajoute à cela le management commercial puisque l’équipe s’enrichit de nouveaux commerciaux pour accompagner la croissance affichée par KB Crawl. »


Quelles sont les missions qui vous plaisent le plus dans le poste de Responsable Business Développement ?

« Tout me plait !! (heureusement). Cependant, je trouve particulièrement gratifiant de proposer LA solution adaptée aux besoins d’un client, celle qui va conduire au démarrage d’une collaboration bénéfique pour les deux parties. »


Pouvez-vous décrire une journée « type » d’un Responsable Business Développement ?

« Il n’y a pas de journée type, et c’est bien là toute la richesse de ma fonction. Certains jours seront consacrés à des réponses à appels d’offres, d’autres à de la prospection, certains pour des rendez-vous en ligne ou en présentiel, ou encore les nombreux échanges que je peux avoir avec mes prospects et clients pour répondre à leurs enjeux autour de la veille stratégique. L’imprévu et la variété sont ce qui caractérise le mieux mes missions. »


Quels sont les qualités d’un Ingénieur d’affaires chez KB Crawl ?

« Avant tout, et parce que KB Crawl reste une entreprise à taille humaine, il faut être autonome. Un goût pour les nouvelles technologies en général et les technologies du web en particulier est indispensable. Mais surtout, il faut intégrer la philosophie de KB Crawl qui consiste à ne pas voir nos prospects et clients comme des futures clients ou clients existants, mais plutôt comme des partenaires que l’on a envie d’accompagner. L’ingénieur commercial chez KB Crawl est surtout dans un rôle de conseil et de proximité. »

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Ce que la potentielle disparition de Google Analytics pourrait changer dans le monde de la veille 

Le risque que Google Analytics disparaisse en Europe reste probable après que la CNIL ait déclaré l’outil « illégal ». En effet, le non-respect du règlement général sur la protection des données (RGPD) est ici concerné.


Le 10 février dernier, la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL) mettait en demeure un gestionnaire d’un site Web français suite à son utilisation de Google Analytics. L’entreprise a désormais un mois pour régulariser ses pratiques sous risque de sanctions et d’une amende à hauteur de 4% de son chiffre d’affaires.

Depuis, d’autres procédures de mises en demeure ont été engagées par la CNIL à l’encontre de certains gestionnaires de sites utilisant aussi Google Analytics. La CNIL appuie sa décision sur l’arrêt dit « Schrems II » du 16 juillet 2020, qui rend potentiellement problématique au regard du droit européen tout transfert de données personnelles de l’Europe vers les grands fournisseurs de « cloud » aux Etats-Unis. La protection des données personnelles telle qu’encadrée par le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) est ici au cœur du contentieux.

Il convient ici de rappeler que la CNIL et ses homologues européens avaient déjà été saisis par le passé par l’association My Privacy Is None of Your Business (NOYB). En France, les données personnelles d’internautes des sites Internet de Sephora, Auchan ou Décathlon auraient été transmises aux services américains via Google Analytics. Ainsi, NOYB a déposé au total 101 plaintes, dont trois concernent les entreprises françaises. Le consentement des internautes avait pourtant été obtenu via l’acceptation des cookies mais il resterait tout de même illégal au vu du RGPD.

Ces attaques ont de quoi mettre en danger la pérennité de Google Analytics en Europe. L’utilisation de cet outil est pourtant extrêmement répandue au sein des entreprises, particulièrement dans le domaine du marketing. Il est le principal dispositif adopté pour les veilles concurrentielles et la web analyse qui sont aujourd’hui indispensables pour les équipes managériales et de direction. TPE de niche, PME, ETI, grands groupes… Toutes les entreprises sont concernées, quels que soient leur taille ou leur domaine.

La probable disparition de Google Analytics aurait d’importantes conséquences sur les données et les entreprises elles-mêmes. D’une part, un impact économique : un grand nombre d’entreprises utilisent cet outil gratuitement et n’ont pas anticipé l’utilisation d’outils payants même si des outils gratuits sont également à leur disposition. D’autre part, un impact sur l’organisation interne : de nombreuses entreprises avaient l’habitude de travailler avec ce service et ont développé des process et une confiance envers celui-ci grâce à son utilisation régulière. Les usages et la structuration de leur veille pourraient s’en trouver modifiés, posant notamment des interrogations en termes d’analyse comparative de données. Comment comparer efficacement et rapidement des rapports émis par deux outils différents, construits différemment et ne disposant pas toujours des mêmes indicateurs? De nombreuses entreprises avaient déjà été bousculées ces derniers mois par la disparition de Facebook Analytics ou simplement de l’indicateur du taux de rebond dans Google Analytics 4. Nous pouvons donc présager de grands bouleversements pour le métier de veilleur si Google Analytics tout entier venait à disparaître de nos entreprises.

La montée en puissance du marketing et de la communication digitale impose désormais aux entreprises des veilles hebdomadaires, voire quotidiennes. La réunion de données clients sur les produits, les concurrents, le marché général et le contexte macro-économique en un seul outil permet un gain de temps considérable pour les veilles concurrentielles. La mesure de ces données ne peut plus être négligée : elle fait pleinement partie du quotidien des équipes stratégiques.

Est-ce pour autant la « fin du monde » ? Certes non. Rassurez-vous, pour maintenir des veilles complètes, il existe de nombreuses alternatives en capacité de répondre aux besoins de votre entreprise, qu’elles soient gratuites ou payantes. Si le géant américain venait à être interdit d’utilisation au sein des entreprises européennes, sa disparition ferait place à des entreprises spécialisées dans la veille, assurant un suivi tout aussi complet pour vos veilleurs.

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Mise en place d’une cellule de veille au sein de l’entreprise : trois actions à consolider

La mise en place d’une cellule de veille au sein d’une organisation se construit et se pense dans la durée. Ci-après, trois champs sur lesquels il convient d’avoir une action dynamique : la réflexion en amont, la bonne transmission de l’information et la gestion en interne de la communauté des veilleurs.

De plus en plus d’organisations de toutes tailles, publiques comme privées ,déploient actuellement une cellule de veille en leur sein. Dans un contexte complexe et connaissant de multiples évolutions (télétravail, digitalisation…), nous observons que des recrutements sont en cours, qu’il s’agisse d’un salarié à plein temps, d’un alternant, voire dans certains cas d’un stagiaire. Quelle que soit la nature de la mission qui a été confiée à ces derniers (veille concurrentielleveille stratégiqueveille juridiqueintelligence économique…), les nouveaux venus vont se retrouver confrontés à un défi : structurer une réflexion collective. Pour ce faire, trois défis se doivent d’être relevés, pour ne pas dire trois murs porteurs à bâtir.


Mettre en place une réflexion en amont

Le déploiement d’une réflexion amont est le premier impératif à consolider. Il s’agit en effet de définir avec le maximum de rigueur possible les enjeux qui sont sous-tendus par le déploiement du projet de veille. Identification des objectifs et des besoins, délimitation du territoire à investiguer… Il faut ici prendre du recul avec ce qui doit être fait. Il s’agit également de mettre en place certains indicateurs de performance (KPIs : Key Performance Indicators).

Dès cette phase amont, il convient de prendre en compte une autre dimension, organisationnelle celle-ci : le profil par essence inadapté du veilleur. Un stagiaire, un alternant – voire un veilleur junior – ne disposent en effet pas d’un poids suffisant au sein de l’organisation pour y promouvoir la veille. Sachant cela, il est important d’identifier au plus tôt un collègue sponsor qui portera la démarche. Celui-ci sera l’ambassadeur de la veille dont il assurera la promotion. Il fera du lobbying interne, pourra participer à des réunions stratégiques, voire dans certains cas à des CoDir au sein desquels il pourra valoriser tout à la fois le projet et ses résultats.


Faire savoir : bien communiquer l’information

Second défi ou pilier de la démarche : faire savoir. Cela signifie tout d’abord qu’il convient de se faire connaître, de bien communiquer sur ce qu’est la veille. Quelle est votre mission ? En quoi consiste-t-elle ? Pour quelle(s) raison(s) se révèle-t-elle stratégique, à la fois pour l’organisation mais aussi pour chacun de vos interlocuteurs ? Ces questions doivent être en permanence abordées par le veilleur nouveau venu.

Celui-ci doit également effectuer un travail spécifique dès lors que l’information a été collectée et que la veille commence à être opérationnelle. Il est ici important de transmettre l’information de manière synthétique, en la résumant en un minimum de mots aux destinataires. Si un mail d’envoi est trop long, il risque de lasser son lecteur, lequel se détournera à plus ou moins brève échéance de la veille. Soyez donc concis dans vos messages, et apportez en parallèle des commentaires internes sur l’information transmise. Ces commentaires apporteront une valeur ajoutée aux données délivrées, lesquelles devront être données de manière brute, c’est-à-dire telles qu’elles se présentent sur leur source d’origine.

Envoyez également l’information sur tous les supports de diffusion dont vous disposez – mails, réseaux sociaux internes, newsletter interne, plateforme… – afin de répondre au mieux aux habitudes des lecteurs. Certains liront la newsletter, d’autres leurs mails… 


Gérer : animer la communauté

Troisième défi à relever : la gestion de votre communauté, voire de vos communautés – car il faut souvent en mobiliser plusieurs. En l’absence de promotion interne, il est important que vous réfléchissiez à l’animation de celles et ceux qui auront intérêt à lire votre veille d’intelligence économique. Qui sont-ils ? Constituez une mailing list que vous interrogerez et remettrez à jour régulièrement.

Afin de fidéliser au mieux ces communautés, il est majeur que vous suiviez de la manière la plus rigoureuse possible les informations collectées. La création de plans d’exécution opérationnels vous permettra de suivre l’information dans la durée. L’envoi de ces plans aux différentes communautés que vous animez permettra progressivement de transformer l’information en véritable valeur ajoutée pour l’entreprise.

Enfin, il s’agit pour toute organisation de préparer « l’après », à savoir le départ programmé du stagiaire ou de l’alternant en charge de la veille. Il faut ici prévoir une approche d’inclusion, en créant par exemple des guidelines (outils, process…) qui permettront d’assurer le transfert de compétences et ainsi d’assurer la survie du projet.

C’est à ce prix que la veille sera identifiée comme une ressource pleine et entière pour les différents acteurs de l’entreprise. À ce prix également qu’une intelligence collective pourra être déployée au cœur de l’organisation afin qu’une autre étape, plus collaborative celle-ci, puisse prendre corps.

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KB Access : La veille pensée pour construire la ville de demain

Découvrez comment les TPE, PME et PMI du secteur de la construction et de l’aménagement établissent leur stratégie grâce à l’utilisation de l’outil de veille KB Access. Alors construisons ensemble la ville de demain.

Intervenants : Arnaud MARQUANT, directeur des opérations chez KB Crawl et avec Fanny STOCHLINN, cheffe de groupe consulting chez KB Crawl.

Questions – Réponses :

KB Crawl peut-il être paramétrer pour de la veille appels d'offres publics sur un segment de marché précis ?

Oui, KB Access peut être paramétré pour surveiller des bases publiques dont notamment celles des appels d’offres.

KB Crawl gère-t-il les connexions aux sites payants ?

Aujourd’hui l’accès aux bases payantes donc au travers d’un login et mot de passe n’est pas une fonctionnalité présente sur KB Access.  Cette mise à disposition est à l’étude mais une fonctionnalité de connexion aux sites privés est possible sur la suite premium de KB Crawl.

Peut-on indenter le code de la requête pour qu'elle soit plus lisible ?

Les requêtes de mots clés utilisent une fonction de mise en couleur des opérateurs booléens mais il n’est pas possible d’indenter les requêtes. Cependant chaque requête est indépendante et le paramétrage permet de mettre en service ou pas une requête.

Combien de rafraîchissements peut-on programmer par jour pour une source donnée ?

Vous pouvez programmer 2 rafraîchissements par jour.

Comment KB Crawl gère les sites pour lesquels un abonnement non payant est nécessaire ?

Aujourd’hui l’accès aux sites nécessitant un login/mot de passe (appelé aussi le web invisible) n’est pas une fonctionnalité présente sur KB Access. Cette mise à disposition est à l’étude mais une fonctionnalité de connexion aux sites privés est possibles sur la suite premium de KB Crawl.

Le blog de veille peut-il être intégré au blog public l'entreprise, sous réserve que le contenu récolté soit en accès libre, évidemment... ?

Il est possible d’envoyer le contenu à l’extérieur du blog.

Peut-on diffuser la lettre d'info à des lecteurs extérieurs à notre entreprise ?

Oui, l’envoi des newsletters n’est pas lié à votre organisation et vous pouvez envoyer la newsletter à tout type d’email.

Peut-on créer un modèle de lettre d'info totalement personnalisé à la charte graphique de l'entreprise ?

KB Access embarque des modèles prédéfinis pour les newsletters. Une personnalisation complète n’est pas possible que dans la suite premoum.

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Transformation digitale : les impacts sur le métier de veilleur

La transformation digitale impacte les veilleurs. Désormais, ceux-ci doivent développer de nouvelles compétences pour pallier la numérisation de leurs outils de travail.


Pourquoi traiter la surinformation ?

Lorsque l’on parle de transformation digitale on pense à l’avènement du Big Data et aux conséquences de la surinformation pour les veilleurs. Elle les rend de moins en moins aptes à distinguer l’essentiel de l’accessoire, ce qui suppose de nouveaux outils techniques de veille pour les comprendre et en tirer du sens. Et si à ses débuts l’immense profusion d’informations faisait penser que seuls des professionnels expérimentés pouvaient procéder à des recherches efficaces et rentables, ce n’est plus vraiment le cas aujourd’hui. En cause, la banalisation et la simplification des technologies de l’information, ainsi que la multiplication des outils destinés au grand public, qui font que tout collaborateur acquiert peu à peu ses propres compétences en matière de veille. Grâce à la transformation digitale chacun devient de plus en plus autonome, mettant en péril la fonction première du métier de veilleur. Cependant, l’information reste surabondante et les utilisateurs sont souvent dépassés. Les cadres consacrent ainsi aujourd’hui plus de 25 % de leur temps à chercher de l’information. Les algorithmes, qui fondent l’intelligence artificielle, permettent également aux veilleurs dans la crise moderne de l’infobésité de traiter des masses d’informations, leur permettant aussi de pouvoir faire des agrégats et retrouver des tendances et les signaux faibles.


Révolution numérique : de nouveaux outils techniques de veille professionnelle à maitriser

L’impact de la transformation digitale porte également sur les outils techniques de veille pour les professionnels et notamment sur les équipements avec lesquels travaillent les veilleurs et les autres professionnels de l’information. On pourrait penser que leurs compétences traditionnelles s’en voient de plus en plus menacées : ces derniers doivent régulièrement justifier de leur « utilité » face aux plateformes, et apporter une véritable valeur ajoutée par leur travail, qui s’apparente aujourd’hui le plus souvent à la simple maîtrise de ces outils. Car à minima, écran oblige, il faut savoir user d’interfaces, de systèmes de commandes, d’outils de visualisation. Dans l’accompagnement des entreprises dans leurs démarches de transition digitale, on précise que sans chercher à devenir un expert, il est bon de comprendre les mécanismes de base qui tournent autour du Web et des données. Ces nouveaux outils techniques de veille plus performants leur permettent de faciliter fortement leur collecte d’information et de gagner du temps sur la diffusion grâce à l’industrialisation du processus de veille au sein de leur département ou entreprise.


Veilleurs et transformation digitale : quelles nouvelles compétences appréhender ? 

La transformation digitale des entreprises n’implique pas uniquement le développement de compétences techniques relatives à la maîtrise des nouveaux outils chez les veilleurs : elle engage également des compétences fonctionnelles dues à l’évolution de leur métier. La digitalisation a juste facilité les étapes, le travail, la mise en œuvre du métier. On se concentre maintenant sur la vraie valeur ajoutée du veilleur : l’analyse. Celui-ci doit donc disposer d’une bonne culture informationnelle pour apporter un input aux résultats obtenus par le biais des outils digitaux. Le veilleur doit également développer des compétences en gestion de projet. On assiste en effet de plus en plus à une veille collaborative, plus efficace, qui s’intègre directement dans les réflexions et les projets. Aujourd’hui, le veilleur n’est plus uniquement dans la communication, comme il pouvait l’être avant où il se contentait d’écrire des articles. Aujourd’hui, il possède un rôle d’accompagnement dans les projets, qui revêt un aspect beaucoup plus opérationnel que le rôle traditionnel qu’il possédait jusqu’à maintenant. Les veilleurs doivent également développer des aptitudes au changement, notamment la capacité à s’approprier les innovations et à prendre leur place dans des organisations en mouvement.


Transformation digitale : vers un travail collaboratif ?

La digitalisation des entreprises aura donc permis d’un côté de faciliter le travail des veilleurs grâce notamment aux nouveaux outils techniques de veille et l’accès à un nombre de sources devenu exponentiel. Elle permet aux professionnels de la veille de dégager du temps pour analyser les données collectées et de travailler de manière plus transverse. L’évolution naturelle de cette situation se trouve alors dans un travail collaboratif autour de la recherche et du partage d’information.

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Safer Internet Day

Les données : un actif essentiel qu’il faut savoir constituer mais aussi protéger

Les données sont devenues l’un des actifs les plus précieux de l’entreprise. Il peut s’agir de données internes relatives à la marche de l’entreprise, à son personnel, à ses procédés, à ses secrets de fabrication, à ses relations contractuelles avec des tiers, etc. Mais il s’agit de plus en plus de données sur l’environnement dans lequel l’entreprise évolue ou aspire à se développer : contexte concurrentiel, normatif, réglementaire, technologique, etc.

La possession au bon moment de données pertinentes est un élément clé du succès des entreprises. C’est un élément différentiateur au même titre que le savoir-faire, l’équipement industriel, le réseau commercial, la puissance financière. Il existe pour cela des outils, qui sont de plus en plus utilisés, pour assister les entreprises dans l’identification et la collecte des informations qui leur sont utiles. Ce sont les outils de veille qui, dans le respect de la réglementation et de la propriété intellectuelle de chacun, sont capables d’aller rechercher de façon automatisée l’information utile à l’entreprise au sein de medias de plus en plus en plus diversifiés : sites Internet et réseaux sociaux, articles, vidéos, podcasts, etc.

Il existe également des outils d’analyse et de synthèse de ces données. Le Big Data reste à la mode mais l’infobésité menace et il faut savoir choisir des outils d’analyse, de tri et de synthèse pour in fine être en mesure de proposer aux décideurs l’information qui leur est réellement utile.

Les entreprises, grandes ou petites, sont donc amenées à mettre en place des chaînes de collecte, de traitement et de valorisation des données qui leur permettront d’atteindre le stade du « Management by data »[1]. Mais c’est ici que la menace se fait jour : celle des cyber-attaques. La cybersécurité n’est plus désormais la seule préoccupation des gestionnaires de systèmes d’information (les IT), elle interpelle toute l’entreprise et en particulier la partie opérationnelle, celle des équipements et du procédé (les OT). Une cyber-attaque réussie peut conduire à la mise hors service de stations de travail ou de calculateurs mais c’est aussi de plus en plus souvent la perturbation ou l’arrêt de l’activité industrielle. La banalisation des équipements, l’intégration de plus en plus poussée entre le niveau IT et le niveau OT, le développement des connexions à distance, par l’Internet notamment, expliquent l’explosion des cyber-attaques qui ont pris des formes de plus en plus variées. Aujourd’hui les attaques en rançongiciels font légion : pour les attaquants, ce sont les plus rentables car elles n’exigent qu’un assez faible niveau de technicité pour être conçues et mises en œuvre et peuvent couvrir un spectre large de victimes potentielles.  Mais il en existe bien d’autres : les attaques en déni de service qui inondent la victime d’un flux de message qui saturent ses capacités de traitement et de communication, l’attaque de l’abreuvoir qui détournent un visiteur d’un site Web vers un site malveillant, la prise de contrôle pure et simple d’un procédé par un opérateur distant, etc. Le premier réflexe doit être de surveiller et protéger les accès et plus généralement de mettre ses installations en conformité avec la norme internationale qui fait désormais autorité l’ISA/IEC 62443. Il faut protéger son procédé, mais il faut aussi protéger ses données et en particulier s’assurer que le professionnel – auquel on a pu confier la responsabilité de fournir un service de veille et par conséquent de collecter, traiter, stocker et mettre à disposition des données qui constituent le fluide vital de l’entreprise – a pris le maximum de précautions pour assurer l’intégrité et la non-divulgation de ces données.

Ce professionnel propose généralement un service en mode SaaS à partir d’un centre de données  qu’il exploite en propre ou qu’il loue auprès d’un fournisseur d’infonuagique. C’est là que doit s’engager un dialogue entre l’exploitant et ses clients. On s’intéressera tout d’abord à la localisation physique des données. Sans faire preuve de paranoïa, on privilégiera un stockage sur le territoire national, avec bien entendu une redondance chaude, en temps réel, entre deux sites distants. On veillera à ce que, dans ces espaces de stockage, les données de chaque client soient cloisonnées dans des espaces compartimentés. On s’assurera que les données sensibles sont ou peuvent être chiffrées, si l’utilisateur l’estime opportun.

On attachera une grande attention aux conditions d’accès à ces centres données. Les point d’accès devront être limités au strict nécessaire et devront être sécurisés. La possibilité devra être donnée aux entreprises de doter l’accès donné aux veilleurs à un système de VPN et de double indentification. La formation à la cybersécurité des veilleurs et de tous ceux qui auront accès aux bases de données devra être organisée.

On s’interrogera sur l’aptitude des centres de données à résister à une attaque en déni de service, jusqu’à quelle intensité et pendant combien de temps.

Enfin, il faut, à des échéances périodiques, prévoir des tests d’intrusion par des sociétés tierces. Une installation cybersecure aujourd’hui, risque de ne plus l’être demain. De nouvelles failles sont régulièrement mises à jour sur des matériels réputés robustes et les techniques des criminels s’enrichissent quotidiennement de nouveaux exploits.

Tout cela crée des contraintes. Il faut les faire comprendre et les faire accepter. L’enjeu est considérable, les données sont un actif qu’il faut savoir constituer mais qu’il est vital de protéger.


[1] Management by data : marque déposée KB Intelligence.

 

Jean-Pierre Hauet

Chief Executive Officer de KB Crawl

Expert international en cybersécurité industrielle. Voting member du comité ISA/IEC 62443.

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KB Crawl annonce de nouvelles nominations pour soutenir sa croissance

Fort d’une année 2021 prometteuse, KB Crawl annonce des promotions internes et l’embauche de nouvelles forces vives.

Paris, le 3 février 2022 – KB Crawl, l’un des leaders français dans les solutions et services de veille pour les entreprises, enregistre actuellement une croissance remarquable. L’entreprise a connu en 2021 une hausse de 15% de sa facturation et une croissance de 12% de son chiffre d’affaires. Le recrutement de nouveaux talents s’est donc avéré incontournable à la fin de l’année 2021 pour faire face à cette accélération de son activité.

La nomination de Lou Vallejo au poste de Community Manager a ainsi initié une nouvelle dynamique au sein de l’entreprise. Ayant rejoint KB Crawl en novembre 2021, Lou Vallejo s’est récemment concentrée sur la mise en place et le développement de la communication digitale et du plan de communication de l’entreprise.« Connaitre une forte croissance sur le marché Français nous incite à aller plus loin dans notre stratégie de communication en étoffant notre équipe marketing, de manière à soutenir nos objectifs en termes de croissance locale », déclare Arnaud Marquant, Directeur des Opérations chez KB Crawl depuis 2018.

Lou Vallejo travaillera notamment en étroite collaboration avec Steevens Jean, récemment diplômé d’un Master Ingénieur d’Affaires chez Euridis Business School, nommé au poste d’Ingénieur d’Affaires au sein de KB Crawl.

Steevens Jean, Ingénieur d’Affaires chez KB Crawl

Steevens Jean aura pour mission de soutenir le développement de l’activité commerciale de KB Crawl en France afin d’accompagner la croissance et le rayonnement prometteur de la société.

« Nous sommes ravis d’accueillir Steevens Jean qui apporte une riche expérience au sein de KB Crawl ; il sera essentiel dans le cadre de la mise en place d’initiatives que nous comptons mener visant à asseoir notre positionnement sur de nouveaux segments de marché et à renforcer les liens que nous entretenons avec nos partenaires existants et à venir. La nomination de Steevens s’inscrit parfaitement dans le soutien de notre forte croissance », indique Eric Bertoletti, Business Development Manager chez KB Crawl depuis plus de 6 ans.

Consultante – Formatrice en Intelligence Economique chez KB Crawl

Pour soutenir cette équipe, Louise Taton quitte son poste d’analyste en Intelligence Economique chez Thalès France et rejoint également les rangs de KB Crawl. Forte de précédentes expériences à l’Institut FMES et au ministère des Armées et titulaire d’un Master 2 en Intelligence Stratégique Internationale à l’Institut Libre en Relations Internationales, elle est nommée chez KB Crawl au poste de consultante et de formatrice en Intelligence Economique. Elle rejoint à ce poste Tennessee Viggiano, lui aussi diplômé d’un Master 2 Intelligence Stratégique Internationale et Affaires Publiques de l’IAE Poitiers.

Ces nouvelles recrues auront pour objectif d’accroitre le leadership de KB Crawl sur le marché français des solutions et services de veilles pour les entreprises.

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TRANSPORT ET LOGISTIQUE : COMMENT STEF OPTIMISE SA STRATÉGIE DE VEILLE AVEC KB SUITE

Pure player de la supply chain alimentaire, STEF a opté pour KB Suite en 2019, la solution de veille stratégique de KB Crawl SAS. Chronique d’un déploiement réussi.

Le rôle de la veille chez STEF

Leader européen des services de transport et de logistique sous température contrôlée (-25°C à +15°C), le Groupe STEF a pour mission d’approvisionner les populations en produits alimentaires depuis plus de 100 ans. Présent dans 8 pays européens, STEF compte 19 000 collaborateurs répartis sur 250 sites et a réalisé un chiffre d’affaires de 3,1 milliards d’euros en 2020.

Face à l’évolution récente des modes de consommation et à la transformation des canaux de distribution, STEF œuvre pour proposer une supply chain agile et connectée, adaptée aux nouveaux besoins de ses clients, qu’il s’agisse d’industriels, de restaurateurs ou de distributeurs. Ses solutions doivent s’inscrire dans le respect des enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux et prendre en compte les évolutions réglementaires.

Dans cet environnement mouvant, le rôle quotidien de la cellule de veille est de rester à l’affût des changements extérieurs à l’entreprise susceptibles de l’impacter et d’attirer l’attention sur ces transformations. Historiquement chez STEF, cette veille marché est rattachée aux fonctions marketing et destinée aux fonctions commerciales, supports et décisionnelles de l’entreprise.

Une solution qui doit répondre à de nouveaux besoins

En 2019, STEF entame une refonte de son système de veille et décide de l’internaliser. Une enquête réalisée auprès des collaborateurs, lecteurs comme veilleurs, aide à déterminer les fonctionnalités attendues. Il en ressort que le futur outil doit permettre de consulter l’information en mobilité, sur Smartphone notamment. La possibilité de réaliser une veille autonome et différenciée par pays, est également indispensable. En outre, les axes de veille sont multisectoriels, portant aussi bien sur l’agroalimentaire que la supply chain, et peuvent évoluer rapidement avec la conjoncture.

Il faut donc un outil agile, multilingue et modulaire, relativement intuitif pour faciliter son adoption.  D’un point de vue technique, il ne faut pas être contraint par un bouquet de sources pré-paramétrées.  Après étude du marché, STEF choisit KB Suite.

Le déploiement de KB Crawl Suite chez STEF

Pour valider ce choix, un PoC[1] de trois mois est lancé fin septembre 2019. La forte implication des équipes de STEF et de KB Crawl pour parvenir à un résultat concluant en un temps record, conduit à la contractualisation de la solution pour deux ans à la fin de l’année 2019. S’en suivent quatre mois de configuration technique de l’outil pour un déploiement prévu au printemps 2020.

Hasard du calendrier, le confinement intervient à cette période. Contre toutes attentes, il se révèle être un formidable accélérateur. D’une part, il offre de la disponibilité pour mobiliser les énergies de la cellule de veille juste avant le lancement. D’autre part, le caractère inédit de cette situation et ses conséquences comme la désorganisation des circuits de distribution alimentaire, renforcent le besoin d’information et de compréhension des collaborateurs. L’initiative est donc très bien accueillie.

Presque deux ans plus tard, le projet se poursuit et sert désormais d’autres directions comme la Direction de l’innovation. Un sondage auprès des lecteurs affiche 96% d’opinions favorables ce qui a conduit au renouvellement du contrat.

[1] Proof of Concept, réalisation sur un périmètre restreint qui a valeur de test.

STEF : stef.com/

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